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Déménagement de la DG CNECT
11/03/2023 Elections au CLP de Luxembourg en 2022Notre programme (FR) Our program (EN) Our electoral website Calendrier des élections Nos candidats Résultat des élections : Nous avons remporté 7,37 % des voix, merci à nos électeurs. C’est un bon score grâce à une forte campagne sur le terrain. C’est la première fois que nous nous sommes présentés en notre nom propre (en tant que U4U, sans coalition) au Luxembourg. Vous serez représentés au CLP de Luxembourg par Margarida BRITES NUNES et Sérgio Filipe CARDOSO Résultats complets - Full results
Call for candidates - Elections for the Commission's Staff Committee in
Luxembourg -
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Dear colleagues,
The elections for the Commission's Staff Committee in Luxembourg are approaching. The challenge is to offer a quality interlocutor vis-à-vis the Administration. For us, U4U is a voice that stands out for its commitment to unity, each situation counts without any hierarchy other than that of the quality of the conditions of a public service able to support the European project that binds us. It is important for us that U4U, on the strength of its development this year, can not only mark the debates so that our conditions here in Luxembourg evolve and that with this greater representativeness, U4U can then also push our concerns to the central level. It is to give this scope that the ten of us are presenting ourselves as U4U candidates. So far, the Staff Committee cannot boast of significant progress on issues such as school buildings, recruitment both within the Institution and the European Schools, the scattering of offices over several sites and, as regards the cost of living, the overcharging of medical expenses, the housing allowances promised and so far never implemented. All these factors contribute greatly to the lack of attractiveness of Luxembourg. We care about each of these issues. In addition, our program continues to be built as you read this message to enrich it with all your realities. You have a role to play, seize it by joining us as a titular or substitute candidate, at your convenience. Each commitment in these elections makes a difference! It's up to you, you can be:
Interested in talking with us? Please use the yes/no/maybe buttons in this email. We will soon organize a workshop "Actor of the electoral campaign, let's talk about it!" to share our enthusiasm with you and clarify any questions you may have. Annex : Draft CPCP position on attactiveness |
Cher.e.s collègues,
Les élections du Comité du Personnel de la Commission au Luxembourg approchent. L’enjeu est de s’offrir un interlocuteur de qualité vis-à-vis de l’Administration. U4U c’est pour nous une voix qui se singularise par son engagement pour l’unité, chaque situation compte sans hiérarchisation autre que celle de la qualité des conditions d’une fonction publique à même de soutenir le projet européen qui nous lie. Il est important pour nous que U4U, fort de son développement cette année, puisse non seulement marquer les débats pour que nos conditions ici au Luxembourg évoluent et qu’avec cette plus grande représentativité, U4U puisse alors aussi pousser nos préoccupations au niveau central. C’est pour donner cette envergure que nous nous présentons tous les dix comme candidats U4U. Jusqu’à présent le comité du personnel ne peut se targuer d’avancées significatives dans les problématiques telles que les bâtiments scolaires, le recrutement tant au sein de l’Institution que des Écoles européennes, l’éparpillement des bureaux sur plusieurs sites et s’agissant du coût de la vie ; la surfacturation des frais médicaux, les indemnités de logement promises et jusqu’à présent jamais mises en œuvre. L’ensemble de ces facteurs participe grandement au manque d’attractivité du Luxembourg. Nous nous soucions de chacun de ces enjeux. De plus, notre programme continue à se construire à l’heure où vous lisez ce message pour l’enrichir de toutes vos réalités. Vous avez un rôle à jouer, saisissez-le en nous rejoignant comme candidat titulaire ou suppléant, à votre convenance. Chaque engagement dans ces élections fait la différence ! C’est à vous de décider, vous pouvez être:
Intéressé.e d’en parler avec nous ? Merci d’utiliser les boutons de vote oui/non/peut-être de cet email. Nous organiserons prochainement un workshop « Acteur de la campagne électorale, parlons-en! » pour partager notre enthousiasme avec vous et clarifier toute question que vous auriez. |
Carmen B. (DGT), Carmen M. (ESTAT), Corina (DGT), Francisco (ESTAT), Jana (PMO), Kristina (OP), Magdalena (OP), Margarida (OP), Michael (ESTAT), Nathalie (CNECT)
Note au Commissaire Johannes HAHN - Disparité Pouvoir d’achat au Luxembourg (Oct 2020)
EN version herebelow
U4U propose de relancer la campagne sur la question de l’attractivité du site de Luxembourg et du pouvoir d’achat des collègues au Luxembourg et en particulier de la question d’une allocation logement pour ceux d’entre eux qui habitent au Grand-Duché. En effet, la Commission a financé une étude sur cette question, il y a un an déjà, afin d’établir un bilan dans ce dossier. Bien que cette étude conclut à un net désavantage sur le coût du logement à Luxembourg, la Commission n’a pas encore avancé de proposition relativement à cette question. Par conséquent, notre organisation, en association avec d’autres, souhaite demander une discussion avec la DG HR sur les différentes options de ce rapport.
Quelles sont les conclusions du rapport de septembre 2019 ?
Cette étude s'inscrit dans le contexte de l'article 64 du statut qui met en œuvre le principe de la parité du pouvoir d'achat entre les différents lieux d'affectation du personnel de l'UE , la base de référence (établie à 100) étant fixée à Bruxelles. Toutefois, l'article 64 du statut prévoit :
« Aucun coefficient correcteur n'est appliqué en Belgique et au Luxembourg, étant donné le rôle spécial de référence joué par ces lieux d'affectation en tant que sièges principaux et d'origine de la plupart des institutions ».
L'évolution du coût de la vie à Bruxelles et à Luxembourg est ainsi mesurée par un indice composite, appelé indice commun (art. 1er, pt. 2, de l'annexe XI du statut) et calculé par Eurostat.
Les études réalisées jusqu’à présent, donnent des résultats très différents pour mesurer le coût de la vie respectivement à Bruxelles et à Luxembourg. Ces différences résultent de la méthodologie utilisée.
Avant de présenter ce rapport, on peut noter que le Luxembourg, en raison de sa taille, compte une part significative du personnel de l'Union Européenne qui réside dans les pays frontaliers (Belgique (Arlon), Allemagne (Trier) et Thionville (France). Une des difficultés majeures de cette analyse a été de compiler des données statistiques sur le coût de la vie dans ces trois zones frontalières.
L'étude comporte trois volets : le premier collecte des données, le deuxième définit une méthodologie pour comparer les données et le troisième propose différentes options pour répondre à la question du coût de la vie à Luxembourg.
Tout d'abord, le rapport établit l'index du coût du logement à Luxembourg à 152,4 (base Bruxelles : 100). Il conclut également que cet index est beaucoup plus faible pour les trois zones frontalières où une partie du personnel des institutions de l'UE réside du fait du coût du logement à Luxembourg. Il s'établit par exemple en moyenne pour Arlon, Trier et Thionville à 70,9.
L'index du coût de la vie (hors logement) est de 110 pour Luxembourg (base Bruxelles : 100) et de 90 en moyenne pour les trois zones frontières mentionnées ci-dessus. Ainsi, l'étude considère que le coût des biens et services est globalement plutôt le même si on compare Bruxelles avec Luxembourg en y incluant les zones frontalières.
Sur le fondement de ces données, l’étude considère qu'il existe une réelle différence de coût de la vie entre Bruxelles et Luxembourg, liée au logement. Dans une dernière partie, le texte envisage différentes options pour répondre à cette situation.
Le texte explore la possibilité de créer un coefficient correcteur pour Luxembourg. Le texte note que cette approche aurait pour conséquence d'accentuer les disparités existant au sein du personnel affecté à Luxembourg. Cette option reviendrait à octroyer un coefficient correcteur à une partie du personnel qui ne réside pas au Luxembourg, mais dans les zones frontalières mentionnées, où le coût de logement est inférieur de 30 % en moyenne à celui de Bruxelles. Cette situation découle du fait que le coefficient correcteur est lié au lieu d'affectation et non au lieu de résidence. Par ailleurs, on doit noter qu'une telle option nécessite un changement de la législation et en particulier des dispositions de l'article 65 et de l'annexe XI du statut ; ce qui ne peut être envisagée que dans un contexte administratif et budgétaire plus global.
La seconde option envisagée par l’étude serait de créer coefficient correcteur pour Luxembourg et de ne l'appliquer qu'au personnel résidant effectivement au Grand-Duché. Outre les difficultés juridiques déjà exposées, cette option ne semble pas non plus praticable car le statut ne prévoit pas d'exclure des bénéfices de l'application du coefficient correcteur une partie du personnel, sur le fondement du lieu de résidence.
Les conclusions du rapport favorisent une troisième solution qui serait d'accorder une allocation logement au personnel résidant effectivement au Grand-Duché. Cette allocation devrait refléter le différentiel du coût du logement entre Luxembourg et Bruxelles et donc être adaptée régulièrement. Elle ne serait donc pas allouée aux personnels résidant dans les trois zones frontières puisque le coût de la vie y est inférieur à Bruxelles.
Le rapport envisage les caractéristiques que pourrait revêtir cette allocation logement : sans limite de temps ; avec une limite de temps à définir ; soit fixe, soit avec une suppression progressive à fixer (durée et rythme). Il envisage également la possibilité de n'accorder cette allocation qu'aux nouveaux recrutés, quelle que soit la forme de cette indemnité. Le texte détaille, pour chaque option, les avantages et les inconvénients et pour le personnel et pour la Commission. U4U est favorable à cette solution, revendication défendue aussi par la liste unitaire que nous avons soutenu lors des dernières élections du personnel.
Toutefois, le rapport n'aborde pas les aspects juridiques de cette approche. Par exemple, on peut d'ores et déjà s'interroger sur la base statutaire la plus appropriée pour instaurer une telle allocation, sans compter la question de la discrimination entre personnels sur un même lieu d'affectation et ne bénéficiant pas des mêmes droits, sur le fondement du lieu de résidence.
Avec d’autres organisations syndicales, qui se sont présentées ensemble aux élections du personnel à Luxembourg, U4U souhaite lancer les discussions sur les conclusions de ce rapport, avec pour objectif de maintenir l’attractivité du site de Luxembourg, de manière générale, et de faire respecter le principe de parité du pouvoir d’achat entre lieux d’affectation. Il est temps d’agir.
17/10/2020
U4U proposes to relaunch the campaign on the attractiveness of the Luxembourg site and the purchasing power of colleagues in Luxembourg and in particular the question of a housing allowance for those living in the Grand Duchy. The Commission has financed a study on this issue, already a year ago, in order to take stock of this issue. Although this study concludes that there is a significant disadvantage to the cost of housing in Luxembourg, the Commission has not yet put forward a proposal on this issue. Therefore, our organisation, in association with others, would like to ask for a discussion with DG HR on the different options of this report.
What are the conclusions of the September 2019 report?
This study is in the context of Article 64 of the Staff Regulations, which implements the principle of purchasing power parity between the different places of employment of EU staff, the baseline (established at 100) being set in Brussels. However, Article 64 of the Staff Regulations provides:
‘No correction coefficient is applied in Belgium and Luxembourg, given the special reference role played by these places of employment as main and original seats of most of the institutions’.
The change in the cost of living in Brussels and Luxembourg is thus measured by a composite index, known as the joint index (Article 1 pt. 2 of Annex XI to the Staff Regulations) and calculated by Eurostat.
The studies carried out so far show very different results for measuring the cost of living in Brussels and Luxembourg respectively. These differences are the result of the methodology used.
Before submitting this report, it can be noted that, because of its size, Luxembourg has a significant share of the staff of the European Union residing in the border countries (Belgium (Arlon), Germany (Trier) and Thionville (France). One of the major difficulties of this analysis has been to compile statistical data on the cost of living in these three border areas.
The study has three strands: The first data collection, the second set out a methodology for comparing the data and the third proposes different options to answer the question of the cost of living in Luxembourg.
First of all, the report establishes the index for housing costs in Luxembourg at 152,4 (Brussels base: 100). It also concludes that this index is much lower for the three border areas where part of the staff of the EU institutions resides due to the cost of housing in Luxembourg. For example, it averages 70,9 for Arlon, Trier and Thionville.
The index for the cost of living (excluding accommodation) is 110 for Luxembourg (Brussels base: 100) and 90 on average for the three border areas mentioned above. Thus, the study considers that the cost of goods and services is broadly the same when comparing Brussels with Luxembourg by including border areas.
On the basis of these data, the study considers that there is a real difference in the cost of living between Brussels and Luxembourg, linked to housing. In a final section, the text considers different options to address this situation.
The text explores the possibility of creating a correction coefficient for Luxembourg. The text notes that the effect of this approach would be to accentuate the disparities among staff employed in Luxembourg. This option would be tantamount to granting a correction coefficient to a proportion of staff who do not reside in Luxembourg but in the border areas mentioned, where the average housing cost is 30 % lower than in Brussels. This situation stems from the fact that the weighting is linked to the place of employment and not to the place of residence. Furthermore, it should be noted that such an option requires a change in the legislation and in particular the provisions of Article 65 and Annex XI of the Staff Regulations; This can only be seen in a broader administrative and budgetary context.
The second option envisaged by the study would be to create a correction coefficient for Luxembourg and apply it only to staff actually residing in the Grand Duchy. In addition to the legal difficulties already set out, this option also does not seem feasible because the Staff Regulations do not provide for the exclusion from the application of the correction coefficient of part of the staff, on the basis of the place of residence.
The conclusions of the report favour a third solution which would be to grant an accommodation allowance to staff actually residing in the Grand Duchy. This allowance should reflect the difference in housing costs between Luxembourg and Brussels and should therefore be adjusted regularly. It would therefore not be allocated to staff residing in the three border areas, since the cost of living there is lower in Brussels.
The report envisages the possible characteristics of the housing allowance: Without time limit; With a time limit to be defined; Either fixed or phasing out (duration and rhythm). It also envisages the possibility of granting this allowance only to new recruits, irrespective of the form of the allowance. The text sets out, for each option, the pros and cons and for staff and the Commission. U4U is in favour of this solution, which is also supported by the unitary list we supported in the last staff elections.
However, the report does not address the legal aspects of this approach. For example, the most appropriate basis under the Staff Regulations for the introduction of such an allowance may already be considered, apart from the question of discrimination between staff at the same place of employment and not enjoying the same rights, on the basis of the place of residence.
Together with other trade union organisations, which presented themselves together at the staff elections in Luxembourg, U4U wishes to launch discussions on the conclusions of this report, with the aim of maintaining the attractiveness of the Luxembourg site in general and ensuring that the principle of parity of purchasing power between places of employment is respected. It is time to act.
Voir aussi : PE : Indemnité compensatoire pour les agents postés au Luxembourg, « adaptation » du minimum luxembourgeois
Demande de concertation sur une indemnité de logement pour le Luxembourg (Jan 2021)
Request for a housing allowance approved at Ensemble Luxembourg gathering Nov 10, 2021
Note du Collège des Présidents des Comités du Personnel sur l'attractivité des institutions et organes de l'UE basés au Luxembourg (Avril 2022)
The Commission has already partially tackled some issues in Luxembourg, for instance, the issue of contract agents being paid less than the minimum national wage while working in the EU, but housing, services, career progression, mobility and schooling continue to be issues for concern for EU staff posted in Luxembourg.
European Schools are tackling part of the issues on their side and we think this is a good practice.
During 2011-2012, the budget of the European Schools was cut drastically. Just like under the Kinnock Reform in 2004 for EU Staff, the Salaries of the Teachers in the European Schools had huge reductions applied to their pay. This was particularly dramatic in Luxembourg, where national teachers both in primary and secondary are very well remunerated.
Since then, it has become almost impossible to recruit mother-tongue teachers to come and work in Luxembourg. For example, German teachers were no longer willing to come to work here, because even with the expatriation allowance, they could not afford to work in Luxembourg. As an additional example, one ended up with several Estonian teachers being recruited as the main teacher in primary school classes, in the English section.
This problem was made worse in the past few years by the establishment of so-called Type II or 'Accredited Schools' in Luxembourg, fully funded by the Luxembourg Government. These schools paid salaries in line with those in the Luxembourg national education system, so many mother tongue teachers left the European Schools in Luxembourg, to work in these accredited Schools.
In the past few years, the various Parents Associations and also Interparents have been very active in trying to persuade the Board Of Governors and the Commissioner responsible for the European Schools (Mr. Oettinger), to do something about these problems.
Recently, they succeeded. The European Schools' Board of Governors decided in April 2019 to introduce several proposals to make the Schools more attractive as an employer, from September 2019 (Source Doc. Ref.: 2019-01-D-56-en-3).
Among these proposals were the following:
"Where the difference between the monthly national emolument referred to in Article 49.2 and the basic salary referred to in Article 49.1 of these Service Regulations is lower than € 1.000 per month, the member of staff shall be entitled to a COMPENSATION ALLOWANCE up to € 1.000. This allowance shall warrant a minimum difference of € 1.000 between the monthly national emolument and the basic salary and a potential expatriation allowance as referred to in Article 56 of these Service Regulations."
"Align the salary of locally recruited teachers to the one of competing national state schools."
So, it was proposed to increase the salaries for locally recruited teachers in the two European Schools in Luxembourg by 12%.
These and other measures should reverse the alarming decline in the standards of the mother tongue teaching in the European Schools in Luxembourg and make the European Schools a more attractive employer, for teachers. This is a very positive step towards gaining attractiveness of the European Commission in Luxembourg. Unluckily, it is a step taken by a multilateral international organisation that is not the European Commission!
The European Schools are not the only international intergovernamental organisation increasing the pay of its staff in Luxembourg, recently, NATO agreed on an 18% raise of salary for its staff posted in Luxembourg. Mainly due to the cost of housing and services and to compensate the loss of purchase power.
The European Union, and in particular the European Court of Justice, the European Court of Auditors, the European Investment Bank, the Interinstitutional offices and agencies and the European Commission, shall introduce 'attractiveness measures' to make the EU working places in Luxembourg a more attractive employer, and to enable the EU Institutions to compete on an equal footing with the financial services and the IT industry here, as well as multinational companies like Amazon, with which EU staff have to compete with when looking for accommodation, schools and services?
The European Commission is probably not the best employer in Luxembourg amongst the EU Institutions. EU Staff in other institutions are also better off: they have better buildings, they work all together in one location or in very close locations, some on them have faster career progression, they internalise the contractual staff in a durable manner (drivers, guards…) , have local advantages and eat better food in their canteens. The Commission does not need to look far to find good practices.
For instance, a report by AIRINC for the European Commission published in September 2019 points to the establishment of a housing allowance for the new staff living posted in Luxembourg. The said reports reads, in its point 5.2.3. “applying a housing allowance or subsidy for all staff living in Luxembourg would ensure that the European Commission provides specific, targeted support to address the central factor influencing the cost disparity” and in its point 5.2.5 “Applying a housing allowance or subsidy only for new staff living in Luxembourg would ensure that the European Commission provides specific, targeted support to address the challenge of recruiting staff to the Luxembourg site.”
It seems the Commission has listened to the report proposal. We hope that concrete measures will follow very soon.
U4U Luxembourg calls the EU Institutions, and in particular the European Commission to urgently and imminently improve the attractiveness of its sites and locations, having in mind the efficiency and the working conditions of its officials and other agents. Luxembourg is the bigger working site after Brussels and the means put forward shall be up to the expectations of the Luxemburgish authorities, the staff and the European Union we all defend and serve.
Fight for our staff in Luxembourg Commissioner Hahn! : enhance their mobility possibilities, establish the housing allowance, ensure appropriate career progression, and reinforce the services!
U4U Luxembourg team
19/02/2020
EN version herebelow
Cette analyse datée du 26 septembre 2019 a été commandée par la Commission européenne au Cabinet AIRINC. En fait, les OSPs se sont faites l’écho des difficultés relatives à l’attractivité du site de Luxembourg et le Commissaire Oettinger s’est donc engagé à vérifier la situation du coût de la vie à Luxembourg.
Il existe une perception au sein des collègues affectés à Luxembourg à propos du niveau du coût de la vie par rapport à Bruxelles. Ce sentiment serait que la différence de coût de la vie entre les deux capitales européennes aurait tendance à s’accroître. Si cette perception s’avérait être une réalité; elle pourrait créer des difficultés pour l’attractivité du site de Luxembourg. En effet, le statut ne prévoit pas de coefficient correcteur pour Luxembourg, mais considère les deux lieux d’affectation comme la base de 100 pour le calcul du parallélisme de pouvoir d’achat entre lieux d’affectation des personnels de l’UE.
Sur base des données collectées par le consultant, il est possible de tirer les deux conclusions suivantes:
L’index du coût du logement à Luxembourg s’établit à 152,4 (Base Bruxelles: 100). Il est de 70,9, en moyenne, pour les trois zones frontalières (Arlon, Trêves et Thionville) où une partie significative du personnel des institutions de l’UE réside | |
L’index du coût de la vie (hors logement) à Luxembourg est de 110 (Base Bruxelles: 100) et de 90 en moyenne pour les trois zones frontières, où réside une part significative du personnel des institutions de l’UE. Ainsi, l’étude considère que le coût des biens et services est comparable entre Bruxelles et Luxembourg, en incluant les zones frontalières. |
Sur le fondement de ces données, le rapport considère qu’il existe une différence de coût de la vie entre Bruxelles et Luxembourg, liée au logement.
En conclusion, le rapport explore les options pour faire face à cette situation. De facto, il en existe deux.
La première consiste à créer un coefficient correcteur en faveur du personnel affecté auprès des institutions européennes à Luxembourg.
Cette approche aurait pour conséquence d’accentuer les disparités existantes au sein du personnel affecté au Grand-Duché. En effet, elle reviendrait à octroyer un coefficient correcteur à une partie du personnel, étant affecté au Grand-Duché, qui réside dans les zones frontalières mentionnées, où le coût de logement est inférieur de 30% en moyenne à celui de Bruxelles.
Plus important, on doit noter qu’une telle option nécessite une révision du statut, dont l’art. 64 prévoit explicitement qu’aucun coefficient correcteur ne s’applique à Luxembourg. L’ouverture du statut ne s’arrêterait pas à cet aspect. Dans le contexte actuel, elle se traduirait par un moins disant pour l’ensemble du personnel des institutions, comme à chaque fois qu’il y a eu une ouverture du statut.
Une variante de cette option, encore moins praticable, serait de n’appliquer le coefficient correcteur qu’au personnel affecté à Luxembourg et résidant au Grand-Duché, excluant de facto les collègues habitant en France, en Belgique et en Allemagne. Cette approche remettrait en cause le système des coefficients correcteurs, basé sur le lieu d’affectation et non sur le lieu de résidence; ce qui soulèverait, à n’en pas douter, d’autres questions juridiques et des problèmes d’égalité de traitement entre personnels affectés en dehors de Bruxelles.
La seconde approche serait d’accorder une allocation logement au bénéfice du personnel qui réside à Luxembourg, à l’exclusion des agents établis dans les trois zones frontalières. Une telle allocation devrait refléter le différentiel du coût du logement entre Luxembourg et Bruxelles et donc être adaptée régulièrement. Une question se pose néanmoins quant à la base juridique statutaire la plus appropriée pour instaurer une telle allocation.
Dans ce contexte, U4U souhaite favoriser l’approche suivante :
La révision du statut ne nous semble pas souhaitable aujourd’hui; car le personnel à trop à perdre, y compris les collègues du Luxembourg. Par conséquent, la création d’un coefficient correcteur à Luxembourg, dans le cadre juridique actuel ne nous semble pas possible et cette approche doit donc être écartée; | |
L’approche d’une indemnité de logement en faveur des collègues de Luxembourg semble plus prometteuse; | |
Après l’adoption du nouveau cadre budgétaire pluriannuel 2021-2027, il sera temps de lancer les discussions sur base des disponibilités financières décidées pour la rubrique VII des MFF; | |
La concertation avec entre la Commission et les OSPs devrait porter sur l’enveloppe budgétaire; la base juridique et les caractéristiques que pourrait revêtir une telle allocation: sans limite de temps; avec une limite de temps à définir; soit fixe, soit avec un phasing-out à déterminer (durée et rythme). |
This analysis dated September 26, 2019 was commissioned by the European Commission to AIRINC. In fact, the Unions echoed the difficulties relating to the attractiveness of the Luxembourg site and Commissioner Oettinger therefore undertook to check the cost of living situation in Luxembourg.
There is a perception among colleagues posted to Luxembourg about the local cost of living compared to Brussels. This feeling would be that the difference of cost of living between the two European capitals would tend to increase. If this perception turns out to be a reality; it could create difficulties for the attractiveness of the Luxembourg site. Indeed, the Staff regulations do not provide for a correction coefficient for Luxembourg, but considers the two places of employment as the base of 100 for the calculation of the parallel purchasing power between places of employment of EU staff.
Based on the data collected by the consultant, it is possible to draw the following two conclusions:
The cost of housing in Luxembourg index is 152.4 (Brussels base: 100). It is 70.9, on average, for the three border areas (Arlon, Trêves and Thionville) where a significant part of the staff of the EU institutions resides | |
The cost of living index (excluding housing) in Luxembourg is 110 (Brussels base: 100) and 90 on average for the three border areas, where a significant part of the staff of the EU institutions resides. Thus, the study considers that the cost of goods and services is comparable between Brussels and Luxembourg, including the border areas. |
Based on this data, the report considers that there is a difference in the cost of living between Brussels and Luxembourg, linked to housing.
In conclusion, the report explores options for dealing with this situation. De facto, there are two.
The first consists in creating a correction coefficient in favor of the staff assigned to the European institutions in Luxembourg. This approach would have the effect of accentuating the existing disparities among the staff assigned to the Grand Duchy. Indeed, it would amount to granting a correction coefficient to a part of the staff, being assigned to the Grand Duchy, which resides in the border areas mentioned, where the cost of housing is 30% lower on average than that of Brussels. More importantly, it should be noted that such an option requires a revision of the Staff Regulations, as art. 64 explicitly provides that no correction coefficient applies to Luxembourg. The opening of the statute would not stop at this aspect. In the current context, it would translate into a lesser bargain for all the staff of the institutions, as it did every time there was a revision of the Staff Regs.
A variant of this option, even less practicable, would be to apply the correction coefficient only to staff assigned to Luxembourg and resident in the Grand Duchy, de facto excluding colleagues living in France, Belgium and Germany. This approach would call into question the system of coefficients based on the place of employment and not on the place of residence; This would undoubtedly raise other legal questions and problems of equal treatment between staff posted outside Brussels.
The second approach would be to grant a housing allowance for the benefit of staff residing in Luxembourg, excluding agents established in the three border areas. Such an allocation should reflect the differential in the cost of housing between Luxembourg and Brussels and therefore be adjusted regularly. A question nevertheless arises as to the most appropriate legal basis for establishing such an allowance
.In this context, U4U wishes to favor the following approach:
The revision of the Staff Regs does not seem desirable to us today; because the staff have too much to lose, including colleagues from Luxembourg. Consequently, the creation of a correction coefficient in Luxembourg, in the current legal framework does not seem possible to us ; this approach must therefore be discarded; | |
The approach of a housing allowance for colleagues in Luxembourg seems more promising; | |
After the adoption of the new multi-annual budgetary framework 2021-2027, it will be time to launch the discussions on the basis of the financial resources decided for heading VII of the MFF; | |
The consultation with between the Commission and the OSPs should relate to the budgetary envelope; the legal basis and the characteristics that such an allocation could take: without time limit; with a time limit to be defined; either fixed, or with a phasing-out to be determined (duration and rhythm). |
La liste "Ensemble Luxembourg" a obtenu 41,12% des votes et arrive en tête. Merci à tous !
Votre contact U4U au CLP : Margarida BRITES NUNES.
In the elections of the next Local Staff Committee, U4U will appear on the “Together Luxembourg” list.Luxembourg colleagues are invited to elect their new staff committee. This vote is important because:
U4U is acting in the interest of the future of the European project, our raison d’être. U4U is taking concrete action to be useful to the institution and all of its staff. U4U prioritises the unity of staff members in order to best protect them. Today, along with other unions - USF Luxembourg, the ECSF, TAO/AFI and SE/RD – U4U is the only union offered to staff whose proposals do not presume the reopening of the staff regulations. This union force propose a reform of the voting system for staff elections, so that our colleagues’ votes are respected and so that a minority taking a majority of seats, as is currently the case, is avoided. The “Together Luxembourg” list aims to make the voices of Luxembourg staff heard, not only in Luxembourg but also in Brussels and all European institutions. “Together Luxembourg” hopes to tackle any problems encountered by staff, without contributing to an opening of the staff regulations that would have adverse effects for all staff. This is why “Together Luxembourg” is calling for the introduction of a housing allowance, and not a new correction coefficient. The reopening of the staff regulations would inevitably lead to setbacks for all staff in all areas, without any guarantee that a new correction coefficient would be granted. This is the danger that certain unions in Luxembourg do not consider: in order to maintain power, they are playing with fire. The organisations participating in the “Together Luxembourg” list are present in all institutions and workplaces. By acting together, they send a clear and determined political message to the enemies of the civil service, whether they are based within or outside of our institutions. The organisations on the “Together Luxembourg” list – U4U, USF Luxembourg, ECSF, TAO/AFI, SE/RD – are acting together in Luxembourg to prevent any attack against the European project and our civil service. The “Together Luxembourg” of today is meeting the challenges of tomorrow.
PDF Flyer - octobre 2019 |
Aux élections du prochain Comité Local du Personnel, U4U
sera présent au sein de la liste
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le nouveau comité local du personnel de Luxembourg définira les priorités pour les collègues; | |
le nouveau comité enverra une délégation au Comité central pour l’ensemble de la Commission, qui aura la lourde responsabilité de faire face aux prochaines attaques du Conseil sur le budget et sur le Statut. |
U4U lie son action à l’avenir de la construction européenne, notre raison d’être. U4U agit concrètement pour être utile pour l’institution et pour tout le personnel. U4U favorise l'unité du personnel pour mieux le défendre.
Aujourd’hui, avec d’autres syndicats - l’USF Luxembourg , la FFPE, TAO/AFI et SE/RD – U4U propose au personnel la seule offre syndicale dont les propositions ne présupposent pas la réouverture du statut.
Cette force syndicale souhaite une réforme du mode de scrutin pour les élections du personnel pour que le vote de nos collègues soit respecté, et pour éviter qu’une minorité ne recueille, comme c’est le cas actuellement, la majorité des sièges. La liste «Ensemble Luxembourg » a pour ambition de faire entendre la voix du personnel luxembourgeois au Luxembourg mais aussi à Bruxelles et dans toutes les institutions européennes.
« Ensemble Luxembourg » souhaite s’attaquer à tous problèmes rencontrés par le personnel, sans contribuer à favoriser une ouverture du statut qui aurait des conséquences néfastes pour tout le personnel. C‘est pourquoi «Ensemble Luxembourg» demande l'instauration d'une indemnité de logement et non pas un nouveau coefficient correcteur. La réouverture du statut entrainerait inévitablement des reculs dans tous les domaines pour tout le personnel, sans d'ailleurs aucune assurance qu'un nouveau coefficient correcteur serait accordé. C’est ce danger que certaines organisations syndicales à Luxembourg ne voient pas : pour conserver le pouvoir, elles jouent avec le feu.
Les organisations participant à cette liste « Ensemble Luxembourg » sont présentes dans toutes les institutions et dans tous les lieux de travail. En agissant ensemble, elles envoient un signal politique clair et résolu aux ennemis de la fonction publique, qu’ils se trouvent à l’intérieur ou à l’extérieur de nos institutions.
Les organisations de la liste « Ensemble Luxembourg » - U4U, l’USF Luxembourg , FFPE, TAO/AFI, SE/RD – agissent ensemble à Luxembourg pour s’opposer à toute attaque contre la construction européenne et contre notre fonction publique.
Our proposal for fair electoral rules What is a General Assembly ?
04/07/2019
A house allowance for Luxembourg, involvement of Luxembourgish authorities. Commission staff posted in Luxembourg: 3744.
Following the reform of the staff regulation in 2014, a legal fiction was invented by the legislator: a common index Brussels / Luxembourg, which serves as a basis 100 for the calculation of the living costs and the application of the annual salary update. Such composite index, the fiction, does not take into account some specificities of the living conditions in Luxembourg, especially for the cost of housing and of services, which are higher than in Brussels.
This is why U4U claims to establish a housing allowance that would offset, for those who actually live in Luxembourg, part of the loss of purchasing power they are facing. In addition, U4U shall ensure that all EU staff based in Luxembourg is not facing overcosts* for medical , legal and personal services, compared to Luxemburgish citizens.
Similar actions, notably in terms of schooling and housing allowances have been undertaken by Regulatory agencies and by the Commission for some representations. For instance the European Medicines Agency increased benefits to offset the living conditions in London. On the other hand, special support for access to housing exists in Luxembourg but it is not facilitated by any internal service that would guide staff. The Luxembourgish state does not exclude EU staff from housing benefits, on the contrary, several colleagues have been granted support, on the basis of their revenue. This is one of the normal counterparts of negotiating bilateral agreements claiming for the establishment of a fixed amount of EU staff in Luxembourghish territory.
U4U clearly states that both the Commission and the Luxembourgish state can do better without adopting any change to the legal frameworks which are currently in force. To that end, a legal study is ongoing and its results will be presented to Commissioner Oettinger and to the Luxembourgish ambassador to the EU after the summer break. The feasibility will have to be combined with the existing opportunities for Luxembourgish citizens.
24/05/2019
* The CdJ declared the 15% surcharge in Luxembourgish hospitals to be illegal (case T737/17)
Future JMO II building: presentation to the CLP LUX (Nov 2018)
Avis du Comité Local du Personnel Luxembourg de la Commission européenne le 23 janvier 2018 sur la
Le Comité local du personnel Luxembourg de la Commission européenne,
Après la réalisation d’une enquête de satisfaction auprès du personnel à
Luxembourg,
Après la réalisation d'une enquête de satisfaction auprès du personnel à
Bruxelles,
Après l’échec du projet NWOW au Parlement européen, à la Cour de justice et à la
Cour des comptes,
Après une analyse approfondie des résultats des recherches scientifiques
disponibles depuis les années 1980,
ÉMET L’AVIS SUIVANT:
Sur la base de l’examen des données scientifiques disponibles et de l’analyse de
l’avis du personnel, le CLP de Luxembourg est d’avis que des bureaux paysagers
comme construit jusqu’à présent par la Commission européenne sont insalubres et
nuisent à la performance de haut niveau et au bien-être du personnel.
En outre, l’OIL n’a pas prouvé que les bénéfices de cette conception l’emportent
sur les coûts en termes de perte de productivité, de confidentialité et de
bien-être du personnel.
Pour ces raisons, le Comité Local du Personnel s’oppose à la fois à
l’introduction du hotdesking et à la construction de grands bureaux paysagers ou
partagés dans le futur bâtiment Jean Monnet II à Luxembourg.
En outre, dans le respect du dialogue social, des membres du Comité Local du
Personnel devraient être inclus dans un comité de pilotage chargé de définir
l'aménagement des bureaux et des autres espaces dans le futur bâtiment Jean
Monnet II.
According to the Staff Regulations, the Commission is to attract & employ the most talented people from all over the EU to come and work for Europe.
Doing this requires that working conditions, buildings, salaries and other benefits etc. are at least as good as what other international organisations offer, else the best people simply will not come to work in the EU Commission.
However, it has become clear to us that OIL has the conflicting objective ( / agenda ) of reducing the budget for renting & maintaining Commission buildings, down to as low a level as possible. This is evident in the pressure on OIL to implement open-plan office designs in the new JMO 2 building as well as the renting of many buildings on the far side of Luxembourg city, from Kirchberg; which leads to a huge loss of productivity.
Other EU Institutions understand why it is important to remain together on Kirchberg, in modern buildings that do not comprise open-plan design features.
31/01/2018
Further reading
University of Canterbury professor Ann Richardson says open plan offices can increase emotional cognitive irritation, decreased mental work ability, productivity and job satisfaction. Open plan offices might be saving your boss money, but they can be bad for your physical and mental health. A literature review of 15 studies into open plan offices by University of Canterbury researchers found, when compared with individual offices, staff using shared or open plan office space get sick more often and are less efficient. Lead researcher professor Ann Richardson said her team wanted to analyse the most up-to-date evidence on office design and health.
Save millions of euro by having a single Staff Card design for ALL EU Institutions in LuxembourgSince all EU Staff are covered by the same Staff Regulations, would it not save a lot of money if all EU Staff in Luxembourg used the same high-quality Staff Card which would give access to ALL EU buildings in Luxembourg? If this idea was adopted then Staff could be equipped with a badge which is pretty much Not Counterfeitable, by adopting security concepts used for passports & National ID Cards. This is especially important given the yellow Security Alert Level. The creation and use of one single access control system and Staff DataBase would save lots of money. Then, Staff in each EU institution could share facilities, e.g. Libraries, canteens, banks, shops, sports facilities etc., which could avoid each institution having to provide each of their buildings with all these facilities. This way, for example, Eurostat staff could go to the Sauna in the Court of Justice and Staff from the Court could come to the Eurostat 'Wellness Room'. Lots of savings due to economies of scale could be achieved. 28/11/2017 |
Économiser des millions d’euros grâce à une seule et unique carte du personnel pour TOUTES les institutions européennes à LuxembourgL’ensemble du personnel de l’Union européenne étant couvert par le même statut, ne réaliserait-on pas une économie considérable si tous ses membres établis à Luxembourg utilisaient un seul Badge de haute qualité, leur donnant accès à TOUS les bâtiments européens de la ville ? Si cette idée venait à être adoptée, le personnel serait équipé d’un badge pour ainsi dire impossible à contrefaire, en adoptant les dispositifs de sécurité utilisés pour les passeports et les documents d’identité nationaux. Cela revêt toute son importance compte tenu de l’alerte de sécurité de niveau jaune. La création et l’utilisation d’un système de contrôle d'accès par badge et d’une base de données du personnel unique permettrait d’économiser beaucoup d’argent. Le personnel de chaque institution européenne pourrait ainsi partager des infrastructures, telles que bibliothèques, cantines, banques, magasins, infrastructures sportives, etc., ce qui permettrait d’éviter à chaque institution de devoir s’en équiper dans chacun de leur bâtiment. Ainsi, le personnel d’Eurostat pourrait, par exemple, se rendre au sauna de la Cour de Justice et le personnel de la Cour pourrait profiter de la salle de bien être d’Eurostat. Ces économies d’échelle pourraient amener de réelles économies. |
U4U décida de lancer une enquête de satisfaction sur les bâtiments auprès des collègues de Luxembourg, une grande première. Cette enquête fut lancée le 8 mai, à temps pour la fête de l’Europe. Du 10 au 31 mai, nous avons reçu 100 réponses. Voici l’analyse fondée sur ces cent premières réponses.
The U4U decided to organise for the first time ever, a building survey amongst Commission staff based in Luxembourg. This short survey was sent out late on Monday May 8th, 2017 in time for Europe Day. During the period from May 10th to May 31st, we received just over 100 replies. To simplify the initial analysis we have taken the first 100 to use for our sample.
Pour en savoir plus... To know more...
Juin 2019 : La Commission, au nom de toutes les Institutions,
a dénoncé la convention de 1996 avec les organismes de santé au Luxembourg.
Ceci met fin au régime de surfacturation des soins de santé. Cette victoire
pour le personnel met enfin un terme à une pratique discriminatoire, condamnée
par la Cour de Justice (voir arrêt Ferlini ci-dessous), qui pesait sur les
collègues affectés au Luxembourg.
Votre vigilance est nécessaire pour refuser désormais toute surfacturation.
Le point sur ce dossier en janvier 2017
Portée de l’arrêt Ferlini : analyse juridique
Luxembourg : Surtarification des soins de santé // Overpricing of healthcare in Luxembourg
Lettre de Mme Gaffey, directrice du PMO, sur la surtarification des soins de santé au Luxembourg
Com. Hahn's answer about Tarification of hospital care services in Luxembourg (Dec 2021)
Monsieur le Président,
La question de la sur-tarification au Luxembourg, et des prix très élevés pratiqués par la médecine libre au Grand-Duché vis-à-vis des affiliés au RCAM (Régime Commun d'Assurance Maladie) des institutions européennes, est une question ancienne. Une convention signée il y a des années entre le RCAM et certains hôpitaux avait tenté de limiter à 15% le montant de cette sur-tarification. En réalité, des pratiques de sur-tarification bien au-delà de 15% ont continué à perdurer et affectent le personnel de la Commission à Luxembourg (notamment le personnel moins bien rémunéré et les retraités), en dépit d'une Directive européenne de 2011 qui prohibe les différences de tarification entre ressortissants de l'Union.
Dans de telles conditions, l'existence même au Luxembourg d'une sur-tarification affectant les personnels de la Commission européenne et d'autres institutions européennes constitue une pratique contraire à l'esprit de la Directive et au fonctionnement du Marché Intérieur prôné au bénéfice des citoyens européens.
Une nouvelle négociation entre les services compétents respectifs des deux parties visant à renégocier la convention en vigueur vient d'être lancée. Il est toutefois à craindre que, si le principe de l'égalité de traitement de tous n'est pas rappelé à un niveau politique supérieur, de telles négociations conduites au niveau technique échouent une nouvelle fois et reconduisent de fait des sur-tarifications revendiquées par la partie luxembourgeoise.
U4U vous demande de soutenir le personnel de la Commission au Luxembourg contre les pratiques de sur-tarification en vigueur, en vous adressant aux autorités politiques luxembourgeoises compétentes, afin qu'elles mettent en œuvre les dispositions pertinentes de la législation européenne applicable à tous les patients européens au Luxembourg. Une telle action pourrait aussi être pertinente dans d'autres sites de la Commission où des sur-tarifications sont pratiquées.
En vous remerciant à l'avance de votre action en faveur du personnel, nous vous prions, Monsieur le Président, d'agréer l'expression de notre plus haute considération.
Carmen Borg, Margarida Brites Nunes, Pietro Cabras, Gerard Hanney-Bastille, Georges Vlandas, Carmen Zammit
le 1er février 2017.
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