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Exercice de promotion 2018

Exercice de promotion 2017

Evaluation de l'exercice de promotion de 2015

 Certification 2014: L’ascenseur social serait il en panne?

Promotions 2014

Career update : information from the CSC

Bilan de l’exercice de promotion AD en 2013

Exercice de promotion 2013

Bilan des promotions 2011 pour les AD

Évaluation/promotion: vers une procédure plus sereine?

Le changement du REC en 2011

For a staff appraisal system which is an effective human resources management instrument

REC: Que faire maintenant et comment?

Evaluation & Promotion: En finir avec l'hypocrisie

La politique des carrières

Principes pour l’amélioration du système d’évaluation et promotion

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Exercice de promotion 2018

Evaluation / Promotion 2018: un bilan en amélioration, globalement positif, mais qui pâtit de la structure des carrières adoptée en 2004

EN version herebelow

Le comité paritaire de suivi de l'exercice d'évaluation et de promotion vient d'achever son rapport pour l'année 2018 assorti de quelques recommandations d'amélioration. Pour mémoire, le système actuel avait un triple objectif:

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être moins chronophage que par le passé, après la réforme de 2004;

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ne pas instrumentaliser l'exercice d'évaluation par celui de promotion afin de valoriser le travail effectué par le personnel et donc permettre fournir aux collègues une reconnaissance pour leur travail;

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assurer des promotions au mérite des plus performants – fondé sur l'esprit de compétition - sans pour autant sacrifier les promotions du reste des collègues – la nécessité d'un esprit de cohésion des équipes de travail. Ce compromis se traduit par l'octroi des garanties collectives qui assurent la progression des carrières du personnel.


Rappelons les étapes et les faits:

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de janvier à mars les rapports d'évaluation sont établis avec si souhaité une procédure d'appel. Les appels à ce stade représentent 0,5% des collègues concernées (101 cas), beaucoup moins que par le passé;

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en avril sont établis les possibilités des promotions: la DG HR fournit, compte tenu du nombre de collègues éligibles à la promotions (deux ans d'ancienneté au moins), des quotas pour le promotions aux différentes DG;

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les directions générales établissent leurs listes de promotion également en avril;

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les Directeurs généraux établissent leurs propositions de promotion au sein de leur direction générale et discutent de la pertinence de cette proposition avec les représentants du personnel qui font part de leurs recommandations, souvent suivis d'effet.

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une fois les propositions de promotion des DGs arrêtées, on entre dans une phase d'appel: tous les appels sont examinés au sein des groupes de travail paritaires qui travaillent, souvent au consensus. Leurs recommandations sont transmises aux comités de promotion AD et AST.

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il reste au total 119 cas "suivi DGs", en principe prioritaires pour la promotion l'année suivante, sans que cela représente toutefois une garantie absolue pour l'exercice de promotion suivant.

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les comités de promotion établissent leurs liste finales, examinées avant toute décision finale par l'AIPIN.

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cette décision peut faire l'objet d'une réclamation article 90, voire d'un recours en justice.

En 2018, il y a eu 4666 quotas pour les promotions dont 256 (5%) attribués aux groupes de travail paritaires qui examinent les appels et constituent ainsi un mécanisme de correction du système. Il faut ajouter 372 promotions qui proviennent des " cascades" vers le bas, c’est-à-dire des quotas de promotion non utilisées dans un grade par les services. Il y a eu aussi, hors quotas, 45 demandes exceptionnelles pour obtenir dans certains cas des promotions plus rapides ou bien faire face à une absence de quotas dans les services de taille restreinte. Seulement 21 demandes exceptionnelles ont été acceptées.

Notons aussi les 10% des collègues (en léger accroissement par rapport à 2017) qui font recours parce que non proposés à la promotion. La majorité d'entre eux ont une ancienneté inférieure d'au moins un an par rapport à la durée d'ancienneté moyenne de leur grade.

Les différentes étapes décrites ci-dessus permettent aux représentants du personnel à jouer un rôle correctif important pour défendre les attentes d'une partie du personnel et le bon fonctionnement du système. U4U est très impliqué dans ce travail. Plus de 30 collègues ainsi que les personnes de contact de notre organisation participent aux réunions de travail et comités impliqués dans cet exercice.

Fait important, la DG HR a donné une suite favorable à la demande des syndicats au sujet des quotas. Rappelons les faits : les quotas pour les promotions dépendent d'une part des taux de l'annexe 1B appliqués à la population en poste et d'autre part de la clé de répartition des quotas totaux entre les DG qui elle se fait bien sur base de la population proposable (i.e. ayant deux ans d'ancienneté) à la promotion par grade . Il arrive cependant que certains services disposent d'un quotas de promotions s'appliquant à une population qui est caractérisée par une ancienneté moyenne plus grande que celle de certains autres services. De ce fait certains DGs peuvent proposer des promotions en moyennes plus rapides que dans d'autres. La DG HR accepte, à certains conditions, d'allouer un peu plus de quotas aux DGs dont la population éligible a plus d'ancienneté moyenne sans pour autant diminuer l'allocation des autres DGs, grâce aux arrondis des quotas de promotion non utilisés. Par ailleurs, un suivi sera conduit par la DG HR pour les DGs ayant des populations avec plus d'ancienneté, afin de vérifier que leur désavantage n'est pas permanent.

Au total, l'actuel système d'évaluation / promotion donne des résultats satisfaisants. Il permet de valoriser le travail effectué par les collègues, sans permettre que l'exercice d'évaluation soit instrumentalisé, comme cela était le cas par le passé, par l'exercice de promotion. Les garanties collectives qui fournissent un compromis entre la logique de compétition et la logique de cohésion, sont plus que respectées, puisque en moyenne près de 90% des promotions se font à l'intérieur des durées moyennes dans les différents grades. Enfin, les moyens budgétaires prévues à l'annexe 1B sont respectés. Il reste cependant à améliorer la qualité des certains rapports d'évaluation notamment en AST.

Ce système d'évaluation / promotion pâtit cependant de la nouvelle grille des carrières décidée en 2004. Le niveau relativement bas des salaires lors de l'entrée en service, comme la multiplication des grades et le rendement décroissant des échelons de cette grille rendent nécessaires l'accroissement du nombre des promotions pour obtenir une progression équivalente des carrières. De ce fait elles provoquent des tensions dans les services, en nourrissant les inquiétudes des collègues pour leur carrière. Cela réduit quelque peu l'amélioration obtenue avec le nouveau système.

On arrive à un phénomène paradoxal d'un système qui tout en garantissant les promotions à l'intérieur des permanences moyennes accroît parfois mécontentement et inquiétudes, ce qui s'exprime par le fait mentionné ci-dessus, à savoir que les 2/3 des appels pour cause de non promotion sont le fait des collègues qui ont une carrière plutôt rapide.

10/04/2019

Evaluation / Promotion 2018: improving results, generally positive, but suffering from the career structure adopted in 2004

The Joint Committee for Monitoring the Evaluation and Promotion Exercise has just completed its 2018 report, which contains a few recommendations for improvement. As a reminder, the current system has a three-fold objective:

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to be less time-consuming than in the past, after the 2004 reform;

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not to use the promotion exercise to exploit the evaluation exercise in order to enhance the value of the work done by staff and therefore allow them to be recognised for their work;

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guarantee merit-based promotions for the best performers – based on a spirit of competition - without however sacrificing the promotions of all the other colleagues – the need for a spirit of solidarity among the working teams. This compromise results in the provision of collective guarantees that ensure the progression of staff careers.

Let’s look at the different stages and facts:

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from January to March, the evaluation reports are drawn up with an appeal procedure if required. Appeals at this stage represent 0.5% of the staff concerned (101 cases), far fewer than in the past;

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the possibilities for promotion are drawn up in April: taking account of the number of staff eligible for promotion (at least two years’ seniority), the DG HR supplies quotas for promotions to the different DGs;

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the Directorates-General also prepare their promotion lists in April;

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the Directors-General prepare their promotion proposals within their DGs and discuss the pertinence of these proposals with staff representatives who give their recommendations, which are often acted on.

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once the DGs’ promotion proposals have been decided, we move on to an appeal stage: all of the appeals are examined by joint working groups, which often reach a consensus. Their recommendations are transmitted to the AD and AST promotion committees.

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There are a total of 119 “DG-monitored” cases which are, in principle, priorities for promotion the following year, although this should not be taken as an absolute guarantee for the next promotion exercise.

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the promotion committees draw up their final lists, examined before any final decision by the Appointing Authority.

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this decision can be the subject of an article 90 claim, or even legal action.

In 2018, there were 4,666 quotas for promotions, of which 256 (5%) were allocated to the joint working groups that examine the appeals and thus constitute a corrective mechanism for the system. To these must be added 372 promotions that originate from the top-down "cascades", i.e. promotion quotas in a grade not used by the services. There were also, apart from the quotas, 45 exceptional requests to obtain faster promotions in certain cases or to deal with a lack of quotas in the smaller services. Only 21 exceptional requests were accepted.

It should also be noted that 10% of colleagues (slightly up on 2017) appeal because they were not put forward for promotion. Most of them have a seniority at least one year below the average seniority for their grade.

The various steps described above allow staff representatives to play an important corrective role in defending the expectations of some of the staff and the smooth running of the system. U4U is very involved in this work. More than 30 colleagues and contact persons from our organization participate in the working meetings and committees involved in this exercise.

It is important to note that the DG HR responded favourably to the trade unions’ demands on the subject of quotas. The facts are as follows: the quotas for the promotions are based on the rates in annex 1B applied to the population in post and on the allocation key for the total quotas between the DGs, which is done on the basis of the eligible population (i.e. with two years’ seniority) on promotion per grade . However, some services have promotion quotas that apply to a population whose average seniority is greater than that of some other services. Some DGs, therefore, can propose promotions that are faster on average than others. The DG HR agrees, subject to certain conditions, to allocate a few more quotas to the DGs whose eligible population has a greater average seniority without, however, reducing the allocation of the other DGs, due to the rounding up of the unused promotion quotas. In addition, the DG HR could perform a monitoring operation for the DGs with populations with more seniority in order to check that their disadvantage is not permanent.

All in all, the current evaluation/promotion system gives satisfactory results. It makes it possible to enhance the value of work done by colleagues, without the evaluation exercise being exploited by the promotion exercise, as has been the case in the past. The collective guarantees that provide a compromise between the logic of competition and that of solidarity are exceeded, as on average almost 90% of promotions take place within the average periods in the different grades. Finally, the budgetary resources provided for in annex 1B are being complied with. However, there is still room for improvement in the quality of some evaluation reports, particularly in AST.

This evaluation/promotion system suffers however because of the new careers grid decided in 2004. The relatively low salary level on entry into service, the multiplication of grades and the decreasing number of steps within this grid, make it necessary to increase the number of promotions to obtain an equivalent career advancement. Consequently, they cause tension within the services by fuelling the concerns of colleagues about their careers. This somewhat reduces the improvement obtained with the new system.

So we have a paradoxical phenomenon of a system which, while guaranteeing promotions within the average periods, sometimes heightens dissatisfaction and concerns, as demonstrated by the fact mentioned above, namely that the 2/3 of appeals on the basis of non-promotion are made by staff who have rather fast-track careers.

Documents

Appointment procedures in the EU institutions : an EP Study (the Blomeyer & Sanz report)

Differences of treatment based on language are, in principle, not allowed in the procedures for selecting staff for the EU institutions

Exercice de promotion 2017

Voir l'article du Link n°61

Politique d’intégrité de la Commission, en particulier la nomination du secrétaire général de la Commission européenne. Résolution du Parlement européen du 18 avril 2018 contenant de nombreuses recommandations sur le processus de nomination aux postes de direction et quant au rôle de la représentation du personnel.

Evaluation de l' Exercice de promotion de 2015

(sur base des CDR de 2014 : un premier bilan)

Un exercice d'évaluation de l'exercice de Promotion 2015 est en cours et le rapport établi par le Comité de suivi des Promotions devrait paraître prochainement. A ce stade, le draft qui circule fournit quelques données très intéressantes qui tordent parfois le cou à quelques idées reçues.

Notons en préambule que moins de 1% des collègues ont introduit un appel contre leur rapport de notation. C'est très peu et démontre que pour la quasi majorité des collègues, le CDR se déroule correctement.

En ce qui concerne la réalisation de l'exercice de promotion, il se déroule de la façon suivante:

Des groupes de travail sont constitués, au niveau des DGs, qui incluent des représentants des DGs en question et des membres désignés par les OSP via le CCP. Ces groupes se réunissent pour étudier les propositions de promotions des DG. Un travail scrupuleux est réalisé par les représentants du personnel pour vérifier que les 3 critères de l'art. 45 nécessaires pour la promotion – rapports depuis la dernière promotion, utilisation des langues et responsabilités – sont correctement pris en compte dans la proposition de promouvoir un collègue. Il consiste aussi à comparer les mérites des promus avec ceux de certains non promus dont la séniorité serait égale ou supérieure à celle de la personne proposée. Les cas qui interrogent la représentation de personnel sont discutés et une liste modifiée peut résulter de cet exercice. Les propositions de liste des promotions des DGs sont envoyées à la DG HR.

Les collègues non promus peuvent introduire un appel s'ils considèrent qu'ils auraient dû l'être. Ces appels sont étudiés par des groupes de travail des comités de promotion AD et AST qui disposent d'un quota de promotions pour réparer certaines injustices. La liste des personnes "rattrapées" est transmise au comité de promotion AST ou AD, puis avalisée par la DG HR qui publie la liste complète des promus pour l'exercice en question.

Toute cette procédure dite "simplifiée", mise en œuvre depuis 2012, continue de s'avérer moins consommatrice de ressources pour les DG, en comparaison du système précédent;

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En 2015 donc, un peu plus de 4.900 promotions ont été accordées (contre 4 664 en 2014), ce qui représente 29% de la population éligible à la promotion, ce qui est satisfaisant pour U4U.

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Les DGs ont utilisé le système de cascade autorisé, ce qui est positif à condition que le nombre de cascades soit limité et que des collègues des grades supérieurs qui s'attendaient à être promus n'aient pas été injustement traités.

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1 126 recours ont été introduits (535 AD et 591 AST), ce qui constitue 8.9% des collègues éligibles à la promotion (cf. art. 45 du statut).

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On retiendra aussi qu'un nombre significatif d'appels ont été introduits par des collègues ayant au minimum 1 an de moins que la moyenne dans le grade. Ce qui reflète le point de vue des collègues qui s'estiment plus méritants et qui trouvent que le système ne tient pas suffisamment compte du mérite. D'autres collègues considèrent, en revanche, que l'on avantage trop des carrières ultra rapides.

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Le quota de repêchage, dont disposaient les groupes de travail des comités de promotion, avait été fixé à 4% de la population promue pour 2015. Finalement, à l'instar des années précédentes, le pourcentage a été maintenu à 5% à la demande du Comité paritaire des promotions et du Comité paritaire de suivi. Au total, environ 250 recours ont été satisfaits (131 pour des AD et 116 pour des AST). U4U calcule que 25% des AD ont obtenu satisfaction contre 20% des AST.

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En ce qui concerne le suivi DG, 84% des AST « flaggés » en 2014 ont été promus en 2015. En 2015, 32 suivis DG ont été émis pour les AD et 54 pour les AST, mais hélas pas toujours pris en compte.

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Pour les fins de grade, concernant la permanence moyenne dans le grade, le changement, introduit dans le statut en 2014 pour la population des grades AD12 et AD13 et AST9, continue de retarder l'avancement des collègues en fin de carrière. S'agissant enfin des AST ex C, la suppression de l'attestation joue un rôle équivalent sur le ralentissement voire le blocage de leurs carrières.

Les recommandations du Comité de suivi sont les suivantes:

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le contexte spécifique des grades d'entrée (population hétérogène, recrutement tout au long de l'année) invite à prêter une attention particulière au personnel dans ces grades. Pour U4U, ceci est un enjeu d'autant plus grand que les frustrations des collègues démarrent très tôt dans leur vie professionnelle.

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affiner les règles qui régissent les cascades de façon à donner aux DGs une plus grande flexibilité à l'intérieur des quotas qui leur sont alloués.

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ajuster le calcul des distributions des possibilités de promotion (d'abord par grade puis par DG) en relation au nombre de collègues qui ont atteint la durée moyenne dans leur grade, en lien avec la règle des permanences moyennes dans le grade.

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maintenir à 5% le quota de promotions dont disposent les comités de promotion pour les appels.

Le débat est ouvert. Nous reviendrons à ce sujet pour un bilan plus complet assorti de proposions d’améliorations additionnelles.

L’exercice de promotion laisse toujours des personnes déçues, car l’institution manque de savoir-faire pour renvoyer des feedbacks positifs aux collègues (que ce soit par le comportement de la hiérarchie ou par des offres de tâches intéressantes). La promotion est le seul exercice par lequel le personnel se voit « récompensé » de ses efforts. Or il existe d’autres moyens que la promotion (et l’argent) pour reconnaître l’apport et la valeur des personnes. Un personnel content de son environnement de travail, de son travail à proprement parler et du sens que celui-ci revêt à ses yeux cultivera moins d’attentes (et de frustrations) relativement à cet exercice.

10/06/2015

Evaluation of the 2015 Promotion exercise

 (based on the 2014 CDR: an initial assessment)

An evaluation is in progress on the 2015 Promotion exercise, and the report prepared by the Promotion Monitoring Committee should be released soon. At this stage, the draft being circulated provides some interesting information that lays to rest some received ideas.

We should begin by noting that fewer than 1% of colleagues have lodged an appeal against their staff report. This figure is very low and shows that, in the opinion of the vast majority of staff, the CDR is working correctly.

The promotion exercise is being conducted as follows:

Working groups are formed in the DGs that include representatives of the DGs in question and members appointed by the OSPs via the CCP. These groups meet to consider the promotions proposed by the DGs. Staff representatives carefully monitor the process to ensure that the three criteria of art. 45 required for promotion – reports since the last promotion, use of languages and responsibilities – are applied correctly in promotion proposals. It also consists of comparing the merits of those promoted against some of those who were not promoted, whose seniority is equal to or greater than the person proposed. Those cases that staff representatives have doubts about are discussed and an amended list may result from this exercise. The proposals on the DGs' promotion list are sent to the DG HR.

Colleagues who are not promoted can lodge an appeal if they believe they should have been. These appeals are examined by working groups from the AD and AST promotion committees, which retain a quota of promotions to correct any injustices. The list of staff "remedied" is sent to the AST or AD promotion committee and then endorsed by the DG HR, which publishes the complete list of promotions for the exercise in question.

All of this "simplified" procedure, in operation since 2012, continues to prove less wasteful of resources for the DGs than the previous system.

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In 2015, just over 4,900 promotions were granted (against 4,664 in 2014), which represents 29% of the population eligible for promotion, which U4U is quite satisfied with.

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The DGs used the authorised cascade system, which is positive provided that the number of cascades is limited and that colleagues in the higher grades who expected to be promoted were not treated unfairly.

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1,126 appeals were lodged (535 AD and 591 AST), which constitutes 8.9% of colleagues eligible for promotion (see art. 45 of the Staff Regulations).

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It should also be noted that a significant number of appeals were lodged by colleagues with at least one year less than the average in the grade. This reflects the view of those colleagues who consider themselves to be more deserving and who find that the system does not take enough account of merit. On the other hand, other colleagues believe that super-fast careers receive too much priority.

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The second chance quota given to the working groups of the promotion committees was set at 4% of the population for 2015. Eventually, as in previous years, the percentage was maintained at 5% at the request of the Joint Promotions Committee and the Joint Monitoring Committee. In total, approximately 250 appeals were successful (131 for AD and 116 for AST). U4U calculates that 25% of the ADs were successful against 20% of ASTs.

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As regards the DG follow-up, 84% of the "flagged" ASTs in 2014 were promoted in 2015. In 2015, 32 DG follow-ups were issued for the AD grade and 54 for the ASTs, but unfortunately were not always taken into consideration.

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For grade purposes, concerning the average time in the grade, the changes made to the Staff Regulations in 2014 for those in grades AD12, AD13 and AST9 continue to delay the advancement of colleagues nearing the end of their careers. Finally, with regard to former AST C grades, the withdrawal of the certification procedure plays an equivalent role in slowing or even blocking their careers.

The Monitoring Committee's recommendations are as follows:

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the specific context of the entry grades (diverse population, recruitment throughout the year) draws particular attention to staff in these grades. In U4U's opinion, this issue is made even more serious by the frustrations of colleagues starting very early in their working lives.

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refining the rules governing cascades so as to give the DGs greater flexibility within the quotas allocated to them.

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adjusting the calculation of distributions of promotion possibilities (first per grade, and then per DG) in relation to the number of staff who have reached the average period in their grade, together with the rule concerning average periods in the grade.

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maintaining at 5% the quota of promotions given to the promotion committees to cover appeals.

The debate is open. We will return to this subject for a fuller report with proposals for additional improvements.

The Promotion exercise always leaves some people disappointed, as the institution is not equipped to provide positive feedback to colleagues (whether through the behaviour of management or by offering staff interesting tasks). Promotion is the only process through which staff are "rewarded" for their efforts. There are, however, other ways than promotion (or money) to recognise the contribution and value of staff members. A workforce that is happy with its working environment ­– in effect with its work and with the meaning this provides – will result in less criticism (and frustration) with regard to this exercise.

Promotions, reclassements et certification : Planches présentées au CCP en juillet 2016. A noter que les arrêts cités sur la seconde page confortent largement le système d'évaluation et de promotion en place.

Certification 2014: L’ascenseur social serait il en panne?

Le nouvel exercice de certification vient d'être lancé. Malheureusement, la Commission a fixé le quota pour cette année à 50 possibilités; alors qu'elle proposait plus de 120 postes en 2008.

Dans ces conditions, quelles sont les perspectives réelles pour les collègues AST au cours d’une carrière de plus en plus longue de suivre une progression en tant qu’administrateur ? N'oublions pas que beaucoup de collègues AST ont la formation et les diplômes qui leur permettent d'espérer une telle évolution de carrière.

D'après nos calculs, moins de 600 AST sont devenus AD, depuis le début de l'exercice de certification, en 2005, à la Commission européenne.

1 La situation

Des améliorations ont été apportées au système de certification: les DGs ont aujourd'hui obligation de trouver un poste aux certifiés, dans les trois années qui suivent la certification. Le certifié doit activement rechercher un poste dans les 18 mois de sa certification.

La diminution du nombre de postes pour l'exercice de certification conduit à un exercice difficile. En effet, seules les DGs numériquement importantes ont un nombre de postes suffisant pour réaliser l'exercice de certification. On peut ainsi comparer la DG DEVCO, qui bénéficie en moyenne de 6 postes, avec des services ayant moins d’administrateurs (OIB, DIGIT,..) ou numériquement plus petites (JUST, ECHO), dont le quota pour la certification est fixé à 1 poste au maximum. Si on divise le nombre total de postes par le nombre de DGs (plus de 40), on s'aperçoit que l'exercice de certification est de plus en plus difficile et que l'ascenseur social risque de tomber en panne.

2 Les propositions de U4U

U4U a toujours soutenu le principe de la certification. Notre organisation est l'origine de la suppression de l'ancienneté dans le grade AST5 pour y accéder. Ce critère était auparavant fixé à 5 années d'ancienneté ! U4U a aussi demandé que les DGs soit responsabilisées pour le recrutement des AST ayant réussi la certification en AD.

Aujourd'hui, U4U propose que la Commission utilise pleinement les 20% du total de recrutements AD dans l'année précédente fixés dans le statut. Notre organisation demande d'ailleurs à ce que le Comité de certification et la CoPar soient informés du nombre de recrutement de l'année N-1 et du nombre de postes de l'année N pour la certification et qu'une discussion puisse être menée dans ces Comités paritaires, afin de fixer annuellement le quota de certifiés.

Notre organisation demande également qu'un maximum de flexibilité soit accordée aux DGs pour le recrutement des certifiés. Pourquoi ne pas permettre aux certifiés de DG ayant peu de postes en AD d'être recrutés dans d'autres DGs?

La Commission doit enfin éviter le chevauchement entre les dates de certification et de promotion, comme cette année. Il faut permettre aux collègues promus en novembre de l'année N avec effet au 1er janvier de cette même année de pouvoir être candidats cette même année N.

Enfin, il est impératif d'encourager le recrutement des certifiés et d'assurer aux DG la disponibilité de postes, de manière suffisante, pour éviter de constater, comme aujourd'hui, que seulement 60% des certifiés sont recrutés 3 ans après la certification.

3 Informations sur l'exercice 2014

Planning :

- Fin décembre 2014: liste des éligibles, appels possibles;
- Janvier 2015: sélection par les DGs – souvent par entretiens, appels possibles;
- Février 2015: audition par le Comité paritaire des candidats, y inclus ceux ayant fait appels contre leur DGs et considéré par le Comité paritaire comme devant être sélectionné.
- Juin – octobre 2015: formation

Plus d'information ...

1- Information administrative (délai pour l'introduction des candidatures 18 novembre 2014)

2- Page d'accueil certification 2014

3- Lignes directrices (cf. critères de sélection, p. 3)

Promotions 2014

Planches sur les fins de carrière (passage aux grades AD13-14 et AST10-11) (support pour la conférence sur ce sujet du 14/10/2014)

Message du Comité du personnel

Exercice de promotion 2014

L’exercice de promotion 2014 est arrivé à son terme.

Le CCP peut donner son assurance à tout le personnel que ses mandatés ont travaillé intensément pendant des semaines à côté des représentants de l’administration pour étudier vos appels et rendre les meilleurs arbitrages.

Ainsi, toutes les promotions pouvant être possiblement attribuées aux collègues AST et AD le seront sans retard, comme le message de la DG HR d’hier transmis directement par Mme Souka le confirme.

Ce même message de la DG HR qui relate un incident survenu dans un comité permet de mettre en lumière des dysfonctionnements profonds du système d’évaluation-promotion.

En effet, à plusieurs titres, le compte n’y est pas !

• Le volume global de promotions alloué annuellement est quantitativement insuffisant au regard des obligations statutaires ;
• La répartition de ces maigres possibilités de promotion par grade et par DG (quotas) est déséquilibrée et conduit à des situations injustes ;
• A ces circonstances défavorables s’ajoutent un excès de promotions ultra-rapides qui aggrave les déséquilibres…

Dans ce contexte, le CCP réitère ses demandes de remédiation (Notes du CCP du 9 avril et 11 juillet 2014) à l’administration.

Le CCP demande qu’un bilan des exercices de promotion des dix dernières années soit dressé afin de confirmer l’étendue des mesures correctrices à apporter.

Le CCP demande également que la répartition des quotas pour l’exercice de promotion 2015 soit paritairement validée préalablement au lancement de ce nouvel exercice.

Enfin, le CCP invite les organisations syndicales à réclamer la renégociation des modalités de fonctionnement du système d’évaluation-promotion afin de rétablir enfin l’équité.

Pour le CCP,

Ignazio Iacono
Président

24/10/2014

Promotion exercise 2014

The 2014 promotion exercise has come to an end.

The CCP can confirm and reassure the staff that for several weeks its members have been working very hard, in close collaboration with the administration, in order to carefully analyse your appeals and defend your cases in the best possible manner.

Consequently all promotions will be allocated to AST and AD colleagues without delay and as announced yesterday in Ms Souka's e-mail.

This same e-mail in which the Director General of DG HR also reports on a serious incident that occurred in a joint committees, at the same time reveals a profound malfunctioning of the current evaluation and promotion system.

Indeed we can underline the following:

- The total number of promotions allocated on an annual basis is insufficient and does not meet the minimum required as per statutory obligations;
- The distribution of promotion opportunities amongst the different DGs (quotas) and grades is unbalanced and leads to unfair situations.
- In addition, the excess of fast careers further exacerbates the existing imbalances.

In light of the above, the CCP reiterates its request to the Administration for remedial and corrective actions (Notes of 09 April and 09 July 2014).

The CCP requests a thorough impact assessment of the promotion exercises undertaken over the last ten years in order to understand the extent to which corrective measures need to be taken.

The CCP also asks that the allocation of quotas for the 2015 promotion exercise be jointly agreed and validated prior to the launch of the next promotion exercise.

Finally, the CCP invites all Trade Unions to renegotiate the operational procedures for the evaluation and promotion exercise with the purpose of establishing a more balanced and fair system for the staff.

For the CSC,

Ignazio Iacono
President

.

Promotions AST et AD : que faire et comment ?

L’exercice de promotion a commencé le 14 avril 2014. Depuis l’entrée en vigueur de la révision du statut, cet exercice comprend deux volets : l’exercice de promotion normal et celui des fins de carrière.

Avant d'agir, U4U / RS souhaite vérifier le degré d'adhésion du personnel par rapport à ses orientations politiques.

Pour l'exercice normal de promotion, les taux de promotion du statut ont été maintenus. Nous demandons de les utiliser pleinement ou, à défaut, lorsqu'on ne peut les épuiser pour un grade donné, d'utiliser les ressources budgétaires inutilisées au profit des grades inférieurs. Ce mécanisme de "cascade" (report) permettrait de réduire plus vite les disparités, notamment celles dont pâtit encore le personnel post-2004 ainsi que le personnel des petites DG (dont les opportunités de promotion sont moins que proportionnelles à leurs effectifs par rapport aux grandes DG).

Pour les fins de carrière, le statut de 2014 limite de manière significative les carrières :

• des AD12 et 13 qui n'appartiennent pas à l'encadrement/conseillers.

• de tous les AST, qui sont maintenant limités au grade AST 9.

Les titulaires de ces grades de fin de carrière ne sont donc pas éligibles à l'exercice normal de promotion.

Toutefois, le statut prévoit des aménagements partiels à ces limitations de carrière, que la Commission doit mettre en œuvre rapidement, comme le font les autres institutions.

U4U demande dès à présent et en priorité à la Commission :

- d'utiliser pleinement les taux de promotion du statut dans chaque grade; à défaut, de reporter les disponibilités budgétaires vers les grades inférieurs, pour mieux réduire les disparités.

- avant la fin 2014, comme prévu par les mesures transitoires du nouveau statut, de reclasser 600 AD 12 et AD13 sur des postes "équivalents" Chef d'Unité/Conseiller, pour leur permettre de participer à nouveau, le plus rapidement possible, à l'exercice de promotion normal et ainsi de poursuivre leur carrière.

- de publier rapidement des postes de "Senior Assistant" pour permettre aux collègues AST 9 de poursuivre leur carrière vers les grades 10 et 11. Une démarche identique sera faite pour les "senior administrators".

- d'assurer l'ensemble de cet exercice de manière paritaire, en associant les représentants du personnel.

AST and AD promotions: what should be done and how?

The promotion procedure commenced on 14 April. Since the entry into force of the revised Staff Regulations, this procedure now has two components: the normal promotion procedure and the end of career procedure.

Before acting, U4U/RS wishes to ascertain to what extent staff support its policy guidelines.

For the normal promotion procedure, the promotion rates of the Staff Regulations have been maintained. We want them to be fully used or, failing that, when they cannot be exhausted for a given grade, the unused budget resources should be used for the lower grades. This “cascade” (transfer) mechanism would help to reduce disparities more quickly, in particular those which affect the post-2004 staff and staff working in small DGs (whose promotion opportunities are fewer in proportion to their numbers compared with the large DGs).

For the end of career staff, the 2014 Staff Regulations significantly restrict the careers of:

• AD12 and 13 staff who do not have management or adviser status.

• all AST staff, who are now restricted to grade AST 9.

Staff in these end of career grades are therefore ineligible for the normal promotion procedure.

However, the Staff Regulations provide for some degree of flexibility with regard to these career limits; the Commission must implement these rapidly, as the other institutions are doing.

U4U therefore calls on the Commission to take the following steps as a matter of priority:

- to fully use the promotion rates of the Staff Regulations in each grade; failing that, to transfer the available budgetary resources to the lower grades, in order to accelerate the reduction of disparities;

- before the end of 2014, as provided for in the transitional measures of the new Staff Regulations, to assign 600 AD 12 and AD13 staff to "equivalent" Head of Unit/Adviser posts, to enable them to participate again, as quickly as possible, in the normal promotion procedure and thus pursue their career;

- to rapidly publish "Senior Assistant" posts in order to enable our AST 9 colleagues to pursue their career towards grades 10 and 11. An identical approach will be adopted for "senior administrators";

- to ensure that this procedure as a whole is implemented on an equal footing with the participation of the staff representatives.

Career update from the Central Staff Committee

06/02/2014 

The CSC wishes to keep you informed on key issues which are on the agenda:

The 2013 promotion procedure:

This is the second procedure to be organised in accordance with the new rules: in the absence of points, the appraisal reports are the sole basis for determining your merit. The procedure was concluded on 8 November with the publication of the list of officials put forward for promotion.

Officials who have not been put forward for promotion may lodge an art. 90.2 type appeal within 3 months of publication of the list, i.e. by to 8 February 2014. The Monitoring Committee, which analyses the procedure (please see the report on the 2012 procedure) had recommended that its work should be completed before the expiry of this 3-month deadline, in order to share its analysis and the related statistical data with staff in a timely manner.

The Central Staff Committee regrets that DG HR has not published this report despite the recommendation made. However, the CSC is pleased to provide you with the theoretical five-year promotion rates observed in the various AST and AD grades for the 2009 to 2013 procedures. This information will enable you to check whether the promotion rate in your grade has been respected: this is an important factor to be mentioned within the framework of any action initiated.

2014 appraisal procedure:

As part of the entry into force on 1.1.2014 of the new staff regulations governing officials and other agents, and pursuant to amended article 44 of the Staff Regulations, advancements to a higher grade are subject to the condition that the level of performance is not considered as unsatisfactory in the latest annual appraisal report.

The Central Staff Committee has opposed the implementation of this new rule from 2014 for the reasons set out in this memo.

Therefore, the Central Staff Committee invites all officials and contract agents whose assessor may have mentioned during the interview that the report might conclude that their performance has been unsatisfactory, or whose report has concluded that their performance has been unsatisfactory, to contact the Central Staff Committee as soon as possible. Within the framework of the appeal procedure, the Central Staff Committee will provide you with representation to support you and defend your interests in the dialogue phase with the appeal assessor.

The AST/SC function group:

The new Staff Regulations have introduced a third category of functions: AST/SC (for Secretary/Commis). To their surprise, a large number of AST officials have noted that in Sysper2 their AST "type of post" has been changed to AST/SC. These changes, without the slightest prior discussion/information at the level of staff representatives and without any communication on the part of their Directorate-General or DG HR, have been implemented in a way that is perceived by colleagues as totally "random", without taking into account the post hitherto filled by the incumbent.

However, it is obvious that Sysper II, as a career management instrument, must reflect the reality, and therefore provide a true representation of the situation of each member of staff.

In these circumstances, the CSC has already requested an urgent meeting with DG HR to discuss this issue.

Pending this clarification, the Central Staff Committee calls on DG HR to formally guarantee that this change of type of post will under no circumstances be prejudicial to the incumbent, whether in terms of career progression (promotion), responsibilities, tasks or mobility. The Central Staff Committee will closely monitor the 2014 promotion procedure to ensure that the incumbents are in no way penalised in the merit comparisons and promotions proposed by the Directorates-General.

Non-management AST 9, AD 12 and AD 13 colleagues:

After the entry into force of the new Staff Regulations, the normal promotion procedure will concern:

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assistants up to grade AST 8;

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non-management administrators up to grade AD11, heads of unit and staff members in equivalent posts will be able to progress by promotion up to grade AD14.

 The legislator’s intention is to ensure that grades AD13 and AD14 also remain accessible to non-management staff, and access to non-management grades AD 13 and AD 14 and grades AST 10/ AST 11 remains possible on the basis of a selection procedure which has not yet been negotiated with the administration.

Nevertheless, it is already apparent that within the framework of this procedure the appraisal report will play a very important role.

Accordingly, it is essential for colleagues who, on the basis of the new Staff Regulations, are no longer concerned by the normal promotion procedure, to continue to focus fully on their appraisal procedure.

You can count on the Central Staff Committee’s support during each stage of the procedure. Please do not hesitate to contact the CSC should you require further information on the points discussed above.

Bilan de l’exercice de promotion AD en 2013

U4U souhaite tirer un bilan de l’exercice de promotion 2013 pour les fonctionnaires de catégorie AD. Nous ferons un prochainement bilan pour le Comité AST.

Tout d’abord, cet exercice, en application de l’annexe IB du statut, va permettre de promouvoir 2945 collègues AD, ce qui n’est pas rien dans le contexte politique et économique global.

La DG HR a joué le jeu dans la discussion, la coopération au sein tant du groupe de travail qui examine les recours qu’au sein du Comité de promotion AD a été bonne, les règles qui encadrent cet exercice de promotion ont également été respectées.

Les garanties Sefcovic/Kallas ont également été respectées. Ainsi le pourcentage de fonctionnaires AD promus en carrière rapide ou normale a été, pour les grades AD11, AD 10 et AD9 de respectivement de 70%, 97%, 84% : alors que la garantie formelle est de 75%. Ces chiffres sont de 94% pour les AD8, 94% pour les AD7, 86% pour les AD6 : avec une garantie de 85%. L’objectif a donc été atteint pour l’ensemble des grades. En revanche, elle n’est pas été atteinte pour le grade AD5 en raison de la période de stage et de la date d’entrée variable des nouveaux collègues au sein des services de la Commission.

U4U regrette qu’il n’ait pas été possible d’étendre ces garanties aux AD12 et aux AD13.

Notre organisation constate également que la DG HR a respecté les taux de promotion de l’annexe IB, à l’exception du grade AD13 vers AD14 ou le taux est d’environ 5% contre 20% prévu dans le statut. Il s’agit d’une occasion manquée alors que 2013 constitue la dernière année pour promouvoir des collègues, dont la carrière sera bloquée à partir du 1er janvier 2014 s'ils ne sont pas chef d’unité.

Il aurait également été favorable pour le personnel de pousser les carrières des collègues AD12 et AD13 qui ne sont pas chef d’unité, avant de bloquer leur carrière de manière définitive. Outre l'impact négatif sur les fonctionnaires AD12 et AD13, les goulets d’étranglement vers le haut vont desservir la carrière de tous.

U4U regrette aussi que certaines DGs aient essayé de faire des carrières ultra rapides avec 1,2 année d’ancienneté de grade, en poussant les collègues « normaux » à faire des recours, au détriment de l’équilibre du système et des DGs qui n’ont pas adopté cette politique.

Toutefois, le Comité de promotion a pu donner des promotions supplémentaires (19 en tout) pour compenser ces déséquilibres cette année. Toutefois, l’année prochaine, nous rappellerons à l’AIPN son rôle d’équilibrage du système pour éviter qu’une telle situation ne recommence.

23/10/2013

Planches présentées au CCP

Exercice de promotion 2013

L'exercice de promotion est reporté d'un mois. Cela veut dire que les collègues concernés vont en voir l'effet sur leur fiche de paie de décembre 2013, au plus tôt. (note du 12 juillet 2013)

L'exercice de promotion 2013 vient de débuter (voir information administrative N° 12-2013 / 16.04.2013). La DG HR a attribué un quota de promotions à chaque DG pour chaque grade qui prend en compte les promotions automatiques dues à la transition, la population et l'ancienneté dans le grade de cette population. Le nombre de promotions est attribué par grade, et chaque DG est tenue de le respecter, avec cependant une flexibilité (appelée "cascade") qui permet de transférer 2 à 4 promotions par groupe de fonction (AD et AST) à un grade inférieur.

Afin d'assurer la transition avec le système à point en vigueur jusqu'à l'exercice 2011, les dispositions suivantes ont été prises:

- tout fonctionnaire à 5 points ou moins du seuil de promotion 2011, non promu l'année dernière, sera automatiquement proposé à la promotion à moins que sa DG ne justifie en bonne et due forme la raison de l'absence de ce fonctionnaire sur les listes.
- tout fonctionnaire à 12 points ou moins du seuil de promotion 2011, non promu l'année dernière, est "marqué" dans Sysper2 jusqu'à l'obtention de sa prochaine promotion. Cette indication n'oblige cependant en rien sa DG à le promouvoir.

Les propositions pour promotions seront définies suite à une comparaison des mérites dans le grade (incluant l'utilisation de langues et le niveau de responsabilités). Chaque DG va établir une liste provisoire des fonctionnaires à promouvoir, et va rencontrer les mandatés du CCP pour un dialogue sur la composition de ces listes. Ces dialogues se tiendront entre le 23 Avril et le 17 Mai. Suite à ce dialogue, les listes de promotions provisoires seront publiées dans Sysper2 le 27 Mai.

Chaque fonctionnaire promouvable a la possibilité de faire appel s'il estime qu'il aurait dû être promu. Une procédure similaire à celle employée lors des derniers exercices sera alors employée: son appel sera examiné par les comités paritaires AD et AST, qui feront une recommandation d'ajouter ou non le fonctionnaire sur la liste de promotion. Ces comités paritaires auront un quota de 5% du nombre total de promotions (soit environ 125 promotions par comité) à attribuer. La décision finale de promotion sera prise par l'AIPN qui publiera les listes définitives des fonctionnaires promus dans le courant du mois d'Octobre. Le fonctionnaire aura alors 3 mois pour faire un appel Art. 90 s'il n'est pas satisfait du résultat de son appel.

Le CCP recommande à tout fonctionnaire:

- se trouvant à 5 points ou moins du seuil de promotion 2011, non promu l'année dernière, et n'étant pas sur les listes provisoires de promotion de faire appel
- dont l'ancienneté dans le grade correspond à la permanence moyenne telle qu'indiquée dans l'information administrative et n'étant pas sur les listes provisoires de promotion de faire appel

Le CCP recommande également aux fonctionnaires souhaitant faire appel suite à la publication des listes provisoires de ne pas hésiter à prendre contact avec les représentants du personnel afin de les aider dans la rédaction de leurs appels contre leur non-promotion.

Exercice de promotion 2013 : planches présentées au CLP en janvier 2013

Note du CCP à la DG HR du 2 mai 2013

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Bilan de l'exercice de promotion 2011 pour les fonctionnaires de catégorie AD

(Octobre 2012)

Suite à la tenue du Comité de promotion AD, quel bilan peut-on tirer des résultats obtenus?

1) Respect de l'annexe IB du statut qui fixe les taux de promotion

Tout d'abord, on peut constater que la moyenne des promotions sur les 5 dernières années (2008-2012) depuis les grades AD5, AD6, AD7 s'établit à 32%, ce qui est légèrement en dessous des 33,33% prévus par le statut. Par conséquent, les dispositions statutaires seront respectées avec une très légère augmentation des promotions dans ces grades, l'année prochaine.

Les taux de promotion moyens depuis les grades AD8, AD9, AD 10 et AD 11 sont respectivement de 30%, 47%, 41% et 35%; alors que le statut prévoit 33,33% pour les AD8 et 25% pour les AD9, AD 10 et AD 11. Il est donc nécessaire d'arriver au niveau prévu par le statut.

Enfin, il est important de constater le goulot d'étranglement constitué par le passage d'AD12 vers AD13, grade pour lequel le taux de promotion moyen est de 20% sur les 5 dernières années, contre 25% prévus dans le statut. La situation est bien pire pour la promotion du grade AD13 vers AD14, pour laquelle le taux prévu est de 20% et le taux réel de 7%.

Cette année, pour le garde AD, le Comité a reçu 516 appels et disposait de 143 possibilités de promotion pour régler ces demandes.

On doit souligner que la répartition des 143 possibilités de promotion, données par la Commission au Comité, conformément aux règles en vigueur n'est pas très claire et que la méthode employée pour de tels calculs n'a pas été explicitée.

Par ailleurs, on doit noter que 40% des possibilités de promotion pour le grade AD12 ont été utilisés pour le grade AD5. L'argumentation pour cette approche est liée au stage de fonctionnaires et à la date de recrutement – que chaque fonctionnaire a malheureusement eu à subir quelle que soit son année de recrutement. On doit noter que si des déséquilibres structurels existent, il n'appartient pas au Comité de promotion de les corriger dans le cadre de l'exercice annuel de promotion. Cette instance a pour rôle d'examiner les recours et de corriger les erreurs des services, quel que soit le grade du requérant (AD12 ou AD5). On doit ajouter que les promotions perdues en haut de la grille (AD12) ont un effet de blocage qui se reporte sur l'ensemble du système, et plus particulièrement vers les grades de début de carrière.

On peut également être surpris par le très petit quota de promotions donné par la Commission pour régler les problèmes des AD13, alors que le non-respect des dispositions statutaires est patent.

Pour terminer, on doit remarquer qu'il manque environ 360 promotions cumulées pour atteindre les pourcentages de l'annexe IB. Il est dommage de voir que la Commission n'a pas utilisé ces moyens pour réduire les disparités entre collègues introduites par la réforme de 2004.

2) Respect des garanties Kallas/Sefcovic sur la vitesse de carrière (85% du personnel d'un grade en carrière moyenne ou rapide

D'après nos calculs, elles ont été respectées pour les grades AD7 (86% promus en carrière moyenne ou rapide); AD8 (94% promus en carrière moyenne ou rapide) – et dans ce cas on va bien au-delà de la garantie prévue, ce dont on ne peut que se féliciter; AD9 (83% promus en carrière moyenne ou rapide), AD10 (97% promus en carrière moyenne ou rapide).

En revanche, elle n'est pas tout à fait respectée dans le grade AD6 (77% promus en carrière moyenne ou rapide) et surtout AD5 (41% promus en carrière moyenne ou rapide) – ce qui est lié à la date du recrutement et au phasage de l'exercice de promotion/évaluation.

Cette garantie ne couvre pas formellement les grades AD 12 et AD 13. Toutefois, on doit souligner, à titre d'exemple, que seuls 56% des collègues AD12 ont été promus en carrière moyenne ou rapide.

Pour conclure sur cet exercice de promotion, U4U invite:

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La Commission à respecter les taux de promotion de l'annexe IB et d'adresser à l'autorité budgétaire les demandes de postes nécessaires pour respecter les pourcentages de cette annexe, dans le cadre de la procédure budgétaire 2013. On doit noter que ni le Parlement, ni le Secrétariat général du Conseil n'hésitent à faire de telles demandes;

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Les DG's et la DG HR à mieux faire respecter les garanties Kallas/Sefcovic (85% de carrières normales ou rapides dans un garde donné), dans le contexte de l'exercice de promotion de l'année prochaine

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Le Comité de promotion à rester dans son rôle d'instance d'appel.

Promotions AD: dernières nouvelles

Suite à la liste arrêtée par le Comité de promotion, nous avons été informés que la liste de promotions que la Commission pourrait arrêter le 17 octobre 2012 a été modifiée en ajoutant 11 promotions et en retirant 5 promotions, par rapport à la liste du Comité de promotion AD:

AD13: +1
AD12: statu quo
AD11: statu quo
AD10 : +1
AD 9 : +6 et -1
AD 8: +1 et -2
AD 7: +1 et -2
AD 6: +1
AD 5: statu quo
Les collègues pourront retracer le parcours dans Sysper.

Recours des collègues post-2004 devant la Cour européenne des droits de Strasbourg:

Nous avons malheureusement appris que la requête Centeno Mediavilla et autres c. Belgique a été déclarée comme irrecevable par la Cour européenne de Strasbourg, alors que cette affaire avait été perdue par deux fois devant la Cour de Justice de l'UE.

Ce nouvel échec met probablement fin à la saga judiciaire des collègues recrutés après 2004, pour leur classement.

U4U considère que le choix de la voie judiciaire pour les les collègues post-2004 a été une erreur et qu'il aurait été beaucoup plus utile de négocier une solution avec la Commission.

Bien entendu, notre organisation va continuer de soutenir une solution politique, tout d'abord pour les 127 collègues recrutés après le 1er mai 2004 sur des concours lancés avant le 1er mai 2004. Mais U4U va plus loin que cette revendication. Elle soutient un reclassement des collègues recrutés après 2004 et invite la Commission à le faire rapidement (cf. dernier Link // Lien).

Évaluation/promotion: vers une procédure plus sereine?

Le nouveau REC remplace l'ancienne procédure qui faisait l'unanimité contre elle (voir plus bas). U4U a cependant été le seul syndicat a approuver le nouveau REC, entré en vigueur en 2012, dont la principale caractéristique est d'avoir partiellement déconnecté la procédure d'évaluation de celle de la promotion, permettant une évaluation qualitative plus efficace pour faire progresser les compétences et plus respectueuse des individus.

Les faits valident notre analyse. Le nombre de recours internes a fortement diminué: il y a environ 5 fois moins de recours, sachant qu'un bilan précis sera établi à la fin du processus devant le comité de promotion.

Tout d'abord, pour ce qui est de l'évaluation, environ 150 recours pour tous les grades ont été introduits en 2012, ce qui est peu comparé aux milliers de recours avec l'ancien système.

Pour ce qui concerne la promotion, les services de la HR ont dénombré 800 recours pour la catégorie A. Le comité Promotions dispose d'environ 120 possibilités de promotion pour cette catégorie, ce qui permettra de régler en douceur un certain nombre de cas litigieux et de promouvoir d'autres collègues qui le méritent.

U4U a soutenu cette réforme de l'évaluation/promotion. Elle continuera son travail d'amélioration au cours du temps. Ses représentants au sein des Comités promotion défendront bien entendu les droits du personnel.

July 2012

Le changement du REC en 2011 

Version finale de la composition des groupes de travail pour les recours REC.

REC: note unitaire à l'attention de M. SEFCOVIC  Avril 2010

Note unitaire sur le REC

Résultats partiels de l'enquête du CCP au sujet du REC

Note unitaire concernant les changements à apporter au REC (jan 2010)

Résolution du CLP de la Commission Luxembourg sur le système d'évaluation promotion

Résultats de l'enquête du CCP au sujet du REC (questionnaire de septembre 2011)

Slides on the proposal from DG HR for a new REC (sept 2011)

For a staff appraisal system which is an effective human resources management instrument

Joint statement of Conf-SFE and U4U/USHU (RS)

Pour une évaluation du personnel qui soit un instrument utile de gestion des ressources humaines
Déclaration commune Conf-SFE et USHU/U4U (RS) Mai 2010

 

Despite its rejection by the staff and in the absence of a credible alternative, the CDR exercise was continued in 2010 with only limited changes to the appeals procedure. It is obvious that the CDR system should have been replaced by an appraisal system which is a proper management instrument and does not give rise to rejections and other perverse effects. The Commission promises us a new system for 2011, while wanting to open and to conclude negotiations with the OSPs by the end of June 2010!! This would be the 4th system in 10 years!

The staff appraisal system can be a useful management tool but to do that it has to take into account and to reflect the type of organization and environment in which the staff would like to work. The failure of the successive CDR systems is particularly due to the subordination of the evaluation exercise to the role of a tool for promotion. For this reason staff thinks that the CDR exercise treats them like children or even sees it as a violent process directed against them instead of a tool for encouragement and motivation. This is valid for the staff concerned but also for management who has to carry out the appraisals. In addition, the failure of the system is also related to the non-participatory method of its introduction

It is now time for that to change. Firstly it is necessary to establish an impartial report on the current practices and their shortcomings, taking into account the nature of the institution and the values it wants to promote. Secondly, contrary to the previous reforms, the staff has to be strongly involved in the various stages of this necessary reform as mentioned in the message of the trade-union majority to Vice-President Šefcovic. It is only through "ownership" of a new system by the staff that it will be possible to break the vicious circle of successive changes of the systems of appraisal and promotion.

We will not accept any new system without the effective involvement of the staff in its design and its implementation. It is exactly for this reason that the Conf-SFE and U4U/USHU (RS) have started to organize a participative process (discussion in small, intensive groups) known as "participatory leadership". It is an imperative for the trade unions but also for the institution to create a new system with the involvement of the staff personnel in its development. Our organizations will work together in this direction with the trade union majority and those who share this approach.

To summarize, we ask:

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that work should begin as soon as possible on changing and improving the system;

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that the whole staff be involved in the design of a new appraisal/promotion system with the help and the cooperation of the OSPs, while agreeing to devote the time necessary to satisfactorily complete this exercise;

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that the appropriate steps be taken to ensure that staff arrive at a feeling of "ownership" of the revised appraisal/promotion system which will be set up.

 

The Executive Committees.

May 2010

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REC: Que faire maintenant et comment?

Jan 2010

Le REC va être reconduit en 2010, faute d'une alternative crédible, malgré le rejet dont il fait l'objet parmi le personnel, y compris l'encadrement, sur fond d'incertitudes induites par la transition d'une Commission à une autre, d'attaques contre la fonction publique européenne et dans un contexte non maîtrisé de restructurations de grande ampleur.

Ainsi, les difficultés du moment, les hésitations des uns et des autres, auront pris le pas sur la nécessité évidente d'abandonner ce système au profit d'une évaluation du personnel qui soit un instrument utile de gestion et ne suscite pas rejets, révoltes et effets pervers. La première question est d'essayer de comprendre le pourquoi sans tomber dans la facilité. Pour cela il faut commencer par balayer devant notre porte: l'administration a certainement une part de responsabilité mais cela l'occupe suffisamment pour éviter d'en rajouter et tenter ainsi d'occulter nos propres défaillances.

Sans vouloir épuiser un débat indispensable si l'on veut vraiment que les choses s'améliorent, on peut avancer un certain nombre d'hypothèses explicatives. Une première hypothèse renvoie à la difficulté de la représentation du personnel à présenter des propositions communes, seule manière de pouvoir peser dans l'élaboration des propositions alternatives.

La cause principale en est, et c'est une seconde hypothèse, la faiblesse du dialogue entre la représentation du personnel et le personnel lui-même. Certes, il s'agit d'un dialogue difficile à mettre en place mais qui n'en demeure pas moins nécessaire si l'on veut être représentatif et jouer un rôle utile au personnel dans le dialogue social. Sur des questions fondamentales, le personnel devrait être mis en situation d'arbitrer les différences - sinon les différends - entre organisations, permettant ainsi que lors du dialogue social un point de vue unitaire émerge et s'impose. 

Une troisième hypothèse se réfère à la façon dont les questions faisant débat sont présentées - technocratique et technique - ce qui empêche le travail de consultation et le débat démocratique, et donc l'émergence d'options réfléchies et de véritables choix. Les choix qui sous-tendent ces options techniques et les conséquences qui en découlent ne sont que rarement explicitées, alors qu'elles contiennent souvent des agendas cachés: les différents acteurs en mesurent la portée réelle une fois les décisions prises, d'où les désillusions et les critiques, voire l'impression d'avoir été exclu d'un débat trop spécialisé.

Le choix d'un système d'évaluation du personnel, outil incontournable de la gestion du personnel, devrait refléter le type d'organisation et de société dans laquelle l'ensemble du personnel souhaiterait évoluer. Ainsi, on ne s'est jamais posé la question de savoir quel type d'institution il nous tient à cœur de représenter, quel environnement de travail serait souhaitable. S'est-on jamais demandé si au niveau des relations professionnelles la coopération ne serait pas plus utile et efficace que la compétition? Laquelle de ces deux logiques correspond le mieux aux valeurs à promouvoir par notre institution? Une nouvelle architecture de carrière nous fut imposée qui n'est pas neutre et finit par nuire à l'institution toute entière.

Quatrième hypothèse, l'échec des REC depuis la reforme de 2004 tient à la subordination de l'exercice d'évaluation à celui de la promotion, qui aboutit à ce que le REC soit vécu comme un processus infantilisant, voire une violence exercée à l'encontre du personnel, notés et notateurs confondus.

S'il doit y avoir une corrélation entre les deux, cela devrait être à partir de l'établissement de critères rigoureux et clairs au regard des objectifs à atteindre, respectant la nature des deux exercices qui répondent à des contraintes différentes. L'exercice de promotion subit, par exemple, des contraintes budgétaires et des contraintes liées en partie aux choix politiques du management. Ces contraintes sont étrangères à l'exercice d'évaluation. On ne saurait donc sans dommage subordonner l'un à l'autre. Cette instrumentalisation est vécue comme une injustice, elle provoque rejet, révolte et démotivation et transforme les procédures de recours en exercices confinant à l'absurde.

Nous pensons qu'il est possible d'imaginer et de mettre en œuvre un système qui soit utile à l'institution et aux collègues et soit perçu comme tel. Pour ce faire, il est nécessaire d'établir un constat dépassionné mais sans complaisance des pratiques en cours mais aussi de réfléchir à ce qui est propre à notre institution et aux valeurs qu'elle doit privilégier dans son fonctionnement. Le personnel doit être fortement impliqué dans les différentes étapes de cette refonte nécessaire.

Nous devons devenir force de proposition parce qu'il s'agit de nous, des valeurs que nous portons, de la société dans laquelle nous voulons vivre et dont nous devons avec fierté défendre la singularité.

Voici un ensemble de défis que U4U se propose de relever, avec le personnel et les autres organisations syndicales.

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Evaluation & Promotion: En finir avec l'hypocrisie
Assessment // Promotion: time to end this farce

Réfléchissons tous ensemble à un meilleur système

Les propositions de U4U

Nous proposons le retrait du système d'évaluation/promotion actuel et une rupture avec la logique des deux derniers systèmes d'évaluation du personnel qui est infantilisante. Nous souhaitons, qu'une réflexion s'engage avec le personnel autour des axes suivants:

1. Le retour à un système qui sépare complètement l'exercice d'évaluation de l'exercice de promotion :

Tout le monde peut comprendre qu'on ne peut pas promouvoir tout le personnel tous les ans ; pour autant il n'est pas nécessaire d'imposer aux évaluateurs le dénigrement de (presque) tous pour assurer la promotion d'une minorité. Ce système est humiliant et infantilisant tant pour les notateurs qui se voient imposer des barèmes a priori que pour les notés auxquels il faut absolument trouver des tares cachées et qui deviennent des clients captifs des OSP. De plus ce système est "time consuming" pour tous, il conduit à des tensions interpersonnelles dommageables aussi bien pour la personne que pour l'ensemble du collectif de travail. Il est donc contreproductif et nuit gravement à l'Institution.

2. Le retour à un système d'évaluation qui repose sur une appréciation qualitative de l'évaluateur;

Cette appréciation doit être en lien avec le travail (le métier) effectué ; les objectifs individuels doivent être préalablement discutés et fixés en fonction des missions (de la DG/Direction/unité); ces objectifs individuels doivent faire sens dans le collectif de travail et dans le programme de travail; l'évaluation doit avoir pour but l'amélioration des performances et des résultats au regard des missions de l'Institution pour laquelle nous travaillons tous; la fréquence de cette évaluation ne doit pas être nécessairement annuelle; l'évaluation doit être plus collégiale.

3. La question de la promotion renvoie en fait à plusieurs problématiques différentes : l'une est la carrière, l'autre les nominations de l'encadrement.

Dans le système actuel la confusion est encore totale et la bataille entre chefs ou pour devenir chef pollue la gestion des carrières du plus grand nombre.

S'agissant des promotions du personnel qui n'est pas dans l'encadrement, nous pensons qu'il faudrait une déconnexion relative entre l'évaluation et la promotion, à condition que soit mis en place un système paritaire de suivi du processus de promotion aboutissant, à chaque fois que nécessaire, à des mesures correctives.

 

U4U's proposals

We propose that the current evaluation/promotion system be withdrawn immediately and the thinking behind the last two evaluation systems, which treat staff like little children, be abandoned. We would like to begin a process of reflection involving all the staff around the following ideas.

1. Let's go back to a system which separates completely the assessment from the promotion exercise

Everybody understands that you cannot promote all the staff every year. But that is no reason to force the reporting officers to have to run down (nearly) all members of their staff so that a few can be promoted. This system is humiliating and childish both for the reviewers, who are obliged to respect predefined criteria and for those being assessed, for whom hidden faults have to be found and who find themselves more and more dependent on the trades unions. Moreover this system is time consuming for everybody and leads to staff frictions which are damaging both to individuals and to the workforce as a whole. The current system is therefore counterproductive and seriously undermines this Institution

2. Let's go back to an evaluation system based on a qualitative assessment by the reporting officer.

There should be a clear link between the assessment and the job carried out. Individual objectives should be discussed and set in advance in accordance with the mission of the DG/Directorate/unit; they should make sense as part of the whole team and the work programme; the evaluation should aim at improving performance and results to serve the aims of the Institution which we are all working for; there is no particular need for the assessment to be carried out every year; above all the assessment should take place in a more congenial, co-operative atmosphere.

3. The promotions issues involves many different aspects. We need to distinguish between career prospects on the one hand, and management appointments, on the other.

The current system has led to total confusion, whereby battles between bosses or to become bosses contaminate the management of career prospects for the majority of staff. For the promotion system for non-management staff, we accept a separation between assessment and promotion provided that a joint consultative process is set up in order to ensure proper follow-up of the promotions procedures and to take correcting measures wherever necessary.

 

La politique des carrières (ou la Commission veut-elle devenir comme GM?)

Cinq ans après les "réformes Kinnock", il est peut-être temps de dresser un premier bilan de la politique des carrières menée par la Commission et de tirer quelques leçons pour la défense des intérêts du personnel de l'institution.

Pour la vaste majorité d'entre nous, la modification fondamentale dans le système d'évaluation a été l'introduction des points de mérite et de promotion. En principe, cette amélioration devait assurer une plus grande transparence dans le processus et faciliterait une comparaison entre les différentes DG.

Moyenne forcée - Promotions au forceps

Mais ce nouveau système s'accompagnait de l'introduction d'une moyenne (de 14 au départ) à ne pas dépasser par DG; faute de devoir payer une amende. En clair, cela voulait dire que pour donner plus de points aux méritants, il fallait trouver des "mauvais" pour compenser.

Le résultat était prévisible. Les fonctionnaires se trouvaient groupés autour de la fameuse moyenne avec très peu d'écart, la différence entre "bon" ou "mauvais" se résumant d'habitude à deux points. Des commentaires très élogieux du notateur étaient accompagnés de points de mérite très moyens.

Pour compliquer encore le système, il n'y avait pas de lien direct entre points de mérite et points de promotion, dont l'attribution était largement laissée à la discrétion de la DG.

Pour le rapporteur, la marge d'appréciation s'en trouvait fortement réduite. S'il se trouvait devant 3 fonctionnaires brillants, travailleurs et méritants, il ne pouvait les récompenser tous, sans mettre en danger la fameuse moyenne. Le noté, quant à lui, ne bénéficiait plus d'une appréciation individuelle mais faisait partie d'une population statistique.

L'imposition de la moyenne a mené à d'autres exagérations. Par exemple, quelqu'un qui venait d'obtenir une promotion se trouvait les années suivantes avec des rapports médiocres, ceci afin de libérer des points pour promouvoir d'autres collègues. La plupart d'entre nous avons accepté de telles injustices dans l'espoir d'aider d'autres collègues. Mais est-ce normal qu'un collègue soit censé être moins performant parce qu'il a reçu une promotion? Non car cela va contre le principe même de la notation basées sur le mérite.

Echec retentissant de ce système aux USA.

Il va sans dire que la Commission n'a pas inventé ce système. Il avait déjà été appliqué depuis les années 70 par de grosses sociétés privées américaines. Ce que l'on a oublié de nous expliquer c'est que le système avait déjà échoué même aux Etats-Unis.

L'exemple le plus frappant de l'échec de ce système d'évaluation du personnel est chez General Electric.

Chez GE, non seulement il y avait l'obligation de respecter une moyenne des points mais également de considérer 5% du personnel comme "non performants" qu'il fallait licencier.

GM s'est fait condamner par les tribunaux non seulement à cause de l'absence d'évaluation personnelle et de preuves d'incompétence mais aussi pour avoir pratiqué une politique discriminatoire à l'égard des travailleurs qui avaient plus de 50 ans. (Bien entendu, les managers préféraient garder les jeunes qui présentaient aussi l'avantage de coûter moins cher).

Nous vous invitons à lire l'article qui donne plus de détails sur l'expérience américaine. Il aide aussi à comprendre les véritables enjeux de la politique de carrières de la Commission et des différentes propositions d'amélioration récentes et envisagées.

Promesses non tenues.

Lors de l'introduction du système des points, on a promis au personnel en échange, en plus d'une plus grande transparence, plus de promotions et une carrière linéaire.

Ne nous faisons pas d'illusions: les promotions ne dépendent pas du système de notation pratiqué par la Commission mais plutôt des restrictions budgétaires imposées par les Etats membres et par le parlement européen.

Or le budget alloué aux dépenses pour le personnel de la Commission (nous disposons d'une seule ligne budgétaire qui comprend les bâtiments et le personnel et accessoirement les promotions) est très réduit et ne permet guère d'envisager une augmentation substantielle du nombre de promotions.

Pour le recrutement des nouveaux fonctionnaires, la situation est bien pire.

Ceci limite également les possibilités réelles d'une carrière linéaire. Les fameux blocages entre les catégories AST et AD continueront tout comme la fin des carrières des administrateurs qui ne trouveront pas de poste d'encadrement.

Mais à maints égards, le faux discours sur une nouvelle carrière linéaire a soulevé des attentes et de faux espoirs. Force est de constater que le passage de catégorie s'accompagne toujours de concours et que ces concours exigent un investissement de la part de l'individu qui souvent est incompatible avec les exigences du poste qu'ils occupent actuellement. Pour bon nombre de nos collègues méritants le passage de catégorie est devenu un songe irréaliste car la certification est un miroir aux alouettes.

Qui plus est, la "carrière linéaire" introduite par M. Kinnock a augmenté le nombre de grades de AST avec l'ajout de l'AST 9 et AST 11 et pour les administrateurs l'ajout des grades par exemple AD 9 et AD 11. En clair, par rapport à l'ancien système, il faut beaucoup plus de promotions pour arriver au même résultat. Evidemment, de nombreuses toutes petites avancées ont de quoi distraire le personnel.

Le nouveau marché de dupes

Un nouveau rideau de fer s'est abattu sur nos carrières! Cette année, la Commission a procédé une fois de plus à une refonte du système. La fameuse moyenne des points de mérite a été remplacée par un nombre limité de "groupes", comportant chacun sa propre moyenne et une moyenne générale entre groupes. Ne soyons pas dupes: plus çà change plus c'est pareil.… C'est un peu moins transparent mais çà reste un regroupement statistique. On a séparé l'évaluation qualitative entre le rapporteur et le noté de l'exercice de l'attribution des points de promotion, tout en gardant le lien entre les groupes de mérite et les différents points de promotion. On a réduit les possibilités pour le noté de réagir contre les points attribués.

Qui plus est, les rapporteurs sont invités par la DG ADMIN à employer des "commentaires harmonisés". Sur base de phrases type, privant ainsi le rapporteur de toute évaluation personnalisée.

A ce stade, le "nouveau" système paraît fondé sur les "principes" suivants:

bullet70% du personnel sont des "moyens". Seulement 4% des points de promotion seront réservés à la majorité des fonctionnaires, qui n'auront plus droit à une progression normale
bulletSeulement 15% du personnel aura droit à une carrière rapide. Même ces fortunés se verront lésés par le nombre accru de grades à gravir et pour ceux qui nous ont rejoint depuis 2005 du fait des conditions moins avantageuses que la Commission leur a accordées mettront des années à récupérer le statut auquel ils avaient droit.
bulletLes plus de 50 ans seront discriminés (voir l'article sur GE cité plus haut).
bulletLe fonctionnaire n'aura plus droit à une évaluation individuelle de son rendement personnel.

 

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Principes pour l’amélioration du système d’évaluation et promotion

 

1 Le rôle de l’évaluateur dans le processus d'évaluation sera pleinement reconnu.

2 La procédure d’évaluation sera séparée de celle de promotion. De ce fait, il y aura donc deux possibilités de recours (évaluation, au sein des CPE et promotion, au sein des Comités de Promotion).

3 Les carrières rapides seront limitées aux pourcentages « historiques » (maximum 18% au lieu des 30% actuellement) et différenciées par grades. Toutefois ces pourcentages doivent être des plafonds et pas des « obligations ». La possibilité des carrières "rapides" devra toutefois être sauvegardée pour permettre un haut management de provenance interne.

4 Les promotions, dont la procédure démarrera après que la phase d'évaluation ait été clôturée, seront effectuées sur base conjointe du mérite établi lors de l'évaluation annuelle et de l'examen d'autres critères de mérite clairs et objectifs (possibilités de promotion, mérite "annuel", mérite dans la durée i.e. ancienneté, mérite de responsabilité, mérite dans l'intérêt de l'institution, politiques de "discrimination positive" etc.). L'ensemble de ces critères peuvent être également quantifiés, ce qui est nécessaire pour garantir la transparence du système.

5 De toute manière un fonctionnaire, qui n'a pas "démérité", avancera à la vitesse prévue dans l'annexe 1 B du statut.

6 Le nombre de niveaux pour la promotion sera limité à 4. Il y aura une seule possibilité de points de promotion par niveau. Sa variation ne procédera pas uniquement de la variation qualitative du mérite. L'évaluateur sera consulté sur la fixation des points de promotion (PP).

7 Le travail dans l’intérêt de l’Institution sera valorisé de manière quantitative (et significative).

8 Le comité paritaire de promotion (sans droit de vote du président):

i. disposera de pouvoirs réels

ii. concentrera son examen sur les recours, les carrières rapides et celles lentes

iii. sera la dernière instance avant la décision de l’AIPN

9 Il est proposé de mettre en place une évaluation de l'évaluateur par ses évalués à partir des critères spécifiques (cf. évaluation de CS au CCP).

 

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